Comment j'ai fui la médiocrité.
Future of Life #023 — Une brève histoire d'ascension sociale.
Hello à toi ! 🤙
J’espère que tu n’as pas raté la dernière édition dans laquelle je résumais ma dernière masterclass.
Ces dernières semaines, beaucoup de personnes nous ont rejoints dans le Raccourci. La semaine dernière, et on a eu le droit au premier “5 Stars Coaching” de Giacomo.
Une masterclass sur le contenu de vente, disponible en replay pour tous nos membres.
Je ferme la parenthèse “promo”, si tu veux rejoindre le 555, c’est par ici.
Aujourd’hui, après plusieurs éditions à parler de business, j’ai envie de rendre cette newsletter plus personnelle.
Je vais t‘expliquer comment je suis passé de gamin de classe moyenne à millionnaire et comment tu peux faire pareil.
Quelle que soit ta situation, cette newsletter va forcément t’aider.
Tu es prêt ? C’est parti !
Au programme de cette 23ᵉ édition :
Je n’ai pas eu de “chance”
Franck in the middle.
Premier basculement : le sport.
Deuxième basculement : l'entrepreneuriat.
Troisième basculement : le voyage.
Conclusion
Mes recommandations de la semaine.
Je n’ai pas eu de “chance”.
Ma vie actuelle a de quoi rendre jaloux.
Je suis 100% indépendant financièrement, j’ai une entreprise qui tourne et j’investis dans des projets qui me font vibrer.
Je vis toute l'année au soleil, j’ai voyagé aux quatre coins du monde et vécu des expériences uniques avec des personnes incroyables.
Je vis dans les plus beaux endroits du monde dans des villas dans lesquelles 99% des gens ne pourraient même pas se permettre de passer une semaine en vacances.
Et cette réussite ne profite pas qu'à moi.
J’ai le luxe d’offrir à mon fils une vie de rêve. L’enfance dont j’aurais rêvé : voyages, éducation alternative à la pointe, apprendre 3 langues à 2 ans, etc.
Si je veux offrir une vie incroyable à Ugo, c’est parce que je n’ai pas eu la chance d’avoir cette enfance.
Ma vie n'a pas toujours été aussi rose…
Je ne suis pas né avec une cuillère en argent dans la bouche.
Je n'ai pas gagné au loto non plus.
Et j’ai galéré pour réussir dans l’entrepreneuriat.
Les 33 premières années de ma vie, j'étais très loin de la vie de rêve.
Mais parce que j'avais la dalle, j'ai réussi à me la construire.
Aujourd'hui, je vais te raconter, en toute transparence, ce qui m'a permis de ne pas stagner au niveau de la classe sociale dans laquelle j'ai grandi pour atteindre un niveau de vie que seul 0,1% de la planète peut vivre.
Mais pour te donner un peu de contexte, retournons en 1982.
Franck in the middle.
Je suis né dans les années 80 dans une famille de la classe moyenne.
Mes parents ont toujours été des bosseurs, qui ont tout fait pour s’en sortir.
Mon père, chef d’entreprise, travaillait 24h sur 24h, sans trop en demander.
Ma mère faisait des ménages quand les fins de mois étaient difficiles.
On ne roulait pas sur l'or. Je ne suis pas parti à l'étranger avant mes 14 ans et mon père travaillait en doudoune dans son local parce qu'il n'avait pas assez d'argent pour réparer le chauffage.
Au niveau de l'éducation, j'ai eu le droit à la méthode "méditerranéenne" : un père droit et dur et une mère douce et surprotectrice.
J’ai des bons souvenirs de mon enfance.
Même si au fond de moi je pense que quelque chose me manquait.
J'avais parfois le sentiment de ne pas être à ma place (j'ai identifié cela plus tard avec une attirance profonde pour les US et une prise de conscience que mon ambition était loin de ce que la France pouvait m'apporter).
Et l'école est malheureusement venue renforcer ce décalage.
Quand j'ai eu l'âge d'aller à l'école, ça s'est très mal passé. Mon institutrice de primaire m'a pris en grippe et a détruit mon estime de moi et ma capacité à m’exprimer.
J’ai dû prendre des cours d’orthophonie…
Hyperactif et autonome, je me suis très vite ennuyé en classe.
Les profs me percevaient comme un élément perturbateur, l'exemple type de ce qu'il ne fallait pas faire et être en classe.
Cette ADN m'a collé à la peau toute mon enfance et adolescence.
Malgré tout, j’ai toujours réussi à avoir la moyenne en faisant le moins d’efforts possibles.
À l'adolescence, mon aversion pour l'école n'a fait que s'empirer. J'ai très vite été aux abonnés absents.
J'ai eu mon BAC de justesse et les profs me destinaient à finir serveur ou intérimaire toute ma vie. Pire mon prof principal de terminale m’a dit mot pour mot : “Mais qu’est ce-qu’on va faire de toi” …
Je venais d’avoir 3 au bac blanc…
J'étais destiné à rester dans le cadre dans lequel j'étais né avec une triste vie sans saveur.
Mais ce cadre, j'en suis sorti. Et mon premier basculement de vie ordinaire à vie extraordinaire fut le sport.
Premier basculement : le sport.
Comme beaucoup d'enfants hyperactifs, j'étais très mal perçu à l'école et aucun effort n'était fait par le corps enseignant pour comprendre et canaliser mon énergie.
Mais heureusement il y avait le sport. Et là j'étais imbattable.
Une vraie passion.
Enfin une discipline où je pouvais m'exprimer librement et où on me comprenait.
D’ailleurs mon 20/20 en sport a joué dans la balance pour le BAC…
Ça a commencé très jeune.
À trois ans, ma mère m’a mis une raquette de tennis dans les mains. Et avec un père sportif, j’étais à bonne école pour prendre soin de mon corps et dépenser mon énergie débordante.
Le tennis a été mon premier pas dans le sport.
Jusqu'à mes 13 ans, c'est dans ce sport que j'ai trouvé un refuge.
Ma vie était rythmée par le sport mais je n'étais pas dans le bon cadre familial pour aller chercher un niveau national et international.
Mes parents n’avaient pas les armes, ni le temps pour me pousser à un niveau professionnel.
J'ai grandi avec une frustration profonde de ne pas avoir été poussé dans ce sport.
J'en ai voulu longtemps à mes parents pensant qu'ils s'étaient désintéressés de mon amour pour le tennis. Le temps m'a fait comprendre que déjà jeune j'attendais beaucoup des personnes qui étaient proches de moi.
Et que simplement ils n'avaient pas compris que j'étais prêt à tout donner pour le tennis et que j'aurais aimé de leur part plus de considération et de soutien.
Et cette phase de ma vie a allumé une flamme en moi. Un amour de la compétition inextinguible qui me suit encore aujourd’hui.
Pour ceux que ça intéresse, je suis Ennéagramme 3w6. Traduit simplement, je suis un performeur et je suis contre phobique (je fais ce qui fait peur aux autres).
Et ces traits de personnalité, ils vont se manifester dans un autre sport.
À 15 ans, mon père ouvre un magasin de scooter et de moto. C'est le moment où moi-même je vais commencer la moto. Et je vais tomber amoureux de la MotoGP.
Et cette fois-ci, pas question de passer à côté de ma passion une nouvelle fois.
De mes 15 à mes 20 ans, je vais respirer, vivre, manger, boire moto.
Toute la période lycée est rythmée par mes entraînements, les compétitions. Je ne mets quasiment plus les pieds au lycée.
Je suis totalement absorbé par ce sport.
Ma vie prend une nouvelle dimension. Mes parents me soutiennent à 100%.
Ils aménagent leur vie et leurs emplois du temps pour que je puisse faire tous les championnats et ne rien louper de ce sport.
Je garde des souvenirs incroyables.
Puis c'est l'accident.
Un grave accident qui remet en question ma carrière sportive, j’allais être titré champion de France… pour ma première saison.
Ma vie s'arrête brusquement.
Je devais (une nouvelle fois) tirer un trait sur ma passion.
Au cours des 6 mois qui suivent mon accident, je vais déprimer et rentrer dans une phase de blackout (alcool, fêtes, filles, et abus en tout genre). Je vis la nuit et dors le jour.
Plus rien n'avait de sens et d'intérêt pour moi.
Je te raconterai peut-être cette phase sombre dans une prochaine édition, mais le fait de ne pas pouvoir devenir champion m'a détruit psychologiquement.
Heureusement, j'ai rebondi en intégrant un peu par hasard les sauveteurs pompiers de Fréjus Saint-Raphaël. Une organisation qui m’a redonné un cadre après une phase de vie chaotique.
Cette expérience fut ma porte d'entrée vers un autre sport : la natation.
Cette fois-ci, sans ambition de devenir champion, j'ai passé mon Brevet d'État d’éducateur sportif.
C'est à Cannes que j'ai ouvert mon école de natation, et que j'ai appris l'entrepreneuriat.
Mais ça, on en reparle dans la prochaine section.
Ce qu'il faut retenir de cette phase de ma vie c'est que le sport a été salvateur et m'a permis de retrouver confiance et estime de moi, que l'école avait détruites dès mon plus jeune âge.
Le tennis, la moto, la natation et plus tard le VTT à haut niveau, le kitesurf, etc : tous ces sports ont forgé mon caractère de battant et continuent à me donner de belles occasions de me challenger.
Mon seul regret, c'est de ne pas avoir poussé plus haut sur le sport, j'avais les aptitudes physiques et mentales, mais pas le bon cadre à un jeune âge pour en faire une carrière.
Heureusement, j'ai eu la chance de réussir dans un tout autre domaine...
Conseil actionnable : Ne te juge pas sur les critères que les autres fixent pour toi. Mets-toi à fond dans tes passions. Expose-toi à l'ambition par une pratique compétitive (sport, arts, etc.)
Deuxième basculement : l'entrepreneuriat.
Bon, tu l'auras bien compris, ce n'est pas avec la scolarité que j'allais faire mes armes.
Et en toute logique, le salariat ne serait pas mon ambition de carrière.
Toutes mes expériences n'ont fait que renforcer ma conviction.
À 16 ans, je me suis fait exploiter par un restaurateur peu scrupuleux. J'ai déjà raconté cette histoire sur LinkedIn et dans ma newsletter.
Mais ce n'est qu'un des nombreux jobs que j'ai enchaînés de mes 16 à mes 20 ans.
J'ai fait tous les petits boulots, du conducteur d'engin de chantier à serveur. À côté, je faisais aussi des missions au black pour gagner un peu d'argent.
Classique. J’aurais pu faire ça toute ma vie.
Mais à côté, j'ai longtemps été un entrepreneur du dimanche.
Je bidouillais, je rendais des services, je faisais des sites internet pour des commerçants. Bref, je faisais marcher ma geekerie.
Je ne saurai pas te dire quelle a été ma première vraie entreprise. Mais j'ai toujours cherché à faire de l'argent en travaillant fort et dur mais sans avoir besoin de rendre de comptes.
J’ai toujours cherché à hacker le système, à trouver des raccourcis.
Malgré tout, c'est avec mon école de natation, autour de mes 22 ans, que j'ai commencé à entreprendre sérieusement.
Ça a été mon école de commerce : j’ai appris à vendre, à construire une offre irrésistible et unique, à délivrer un service de qualité.
Mais surtout, en enseignant la nage à des enfants de bonne famille, j’ai rencontré des businessmen de haut vol qui m’ont exposé à un certain niveau d’ambition.
Et puis j’ai tout arrêté pour partir en Australie (on en parle dans la prochaine section)
Là-bas, j’ai découvert le business en ligne et approfondi mes connaissances en marketing.
À mon retour, j’ai tâtonné pour gagner ma vie sur Internet.
De 2008 à 2015, je vais vivre 7 ans de galères, durant lesquelles je travaille beaucoup, mais gagne très peu (hormis mes saisons de coaching et natation).
Mais tout ce parcours va m'apprendre à être libre, à ne compter que sur moi pour gagner de l'argent, à penser en effet de leviers, à me former en continu.
Finalement, c’est en 2015 que les "étoiles vont s'aligner” et qu'en 16 mois, je vais générer 5.8M d’€ CA et être le premier français à intégrer le Two-Comma Club.
Mais ce résultat ne serait jamais arrivé si je n'avais pas vécu un troisième shift.
Si je n’avais jamais quitté la France, je serais resté un galérien toute ma vie.
Conseil actionnable : Tout résultat nécessite travail. On ne réussit pas du jour au lendemain. Mais l’entrepreneuriat est une condition primordiale de la liberté.
Troisième basculement : le voyage.
En 2008, j'ai pété un câble.
Sur un coup de tête, j'ai pris un aller simple pour l'Australie. En deux semaines, j'ai vendu tout ce que je possédais et je me suis envolé pour la terre des kangourous.
Je me revois au téléphone avec mes parents, leur annoncer mon départ :
— Papa, Maman, je pars.
— D’accord, tu vas ou et tu rentres quand ?
— Je vais en Australie et je ne rentre pas
— D’accord, mais c’est quand ton retour ?
— Je n’ai pas pris de billet retour.
— Mais du coup tu rentres quand ?
— Mais je ne rentre pas.
Je crois que j’ai dû leur répéter 5 fois avant qu’ils comprennent 😂
Arrivé en Australie, j’ai découvert une autre culture, j’ai appris l’anglais, et surtout, j’ai découvert le Google anglophone.
À l’origine, j’étais parti pour un an de backpacking et de vanlife, mais j’ai fini Head Coach à la Mega Swim School et en parallèle, j’ai lancé ma première agence marketing.
17 mois après, je suis rentré en France, radicalement transformé.
Sans ce voyage, je n’aurais jamais lancé Kalipseo (ma première agence marketing) en France. Je ne serais jamais devenu un expert Facebook Ads. Je n’aurais jamais fait 5.8M d’€ en 16 mois.
Puis, après mon année 2015-2016, après mon succès fulgurant, deux événements m'ont fait voyager et propulsé encore plus mon mindset :
L'invitation sur l'île de Richard Branson
Mes séjours fréquents aux USA pour la War Room
Dans ces années, je vais devenir un citoyen du monde et m'exposer à des personnalités qui ont eu un succès international.
En 2017, je passais la moitié de mon année aux USA. J’ai rencontré des pontes du business et j’ai totalement divorcé de la médiocrité française. J’ai découvert un pays qui me comprenait vraiment.
Puis en 2020, je suis parti vivre à Dubaï. Je n’ai pas forcément adoré, mais encore une fois, j’ai rencontré des gens avec un niveau d’ambition et de détermination.
Enfin, depuis que je suis papa, au Brésil, c’est un autre cap que je franchis. Je devrais bientôt avoir la nationalité brésilienne et j’aime profondément ce pays.
Mais je sais que le monde me tend encore les bras et que j’ai d’autres contrés à découvrir.
Tous mes voyages m’ont profondément changé. Et sans eux, sans les cultures que j’ai découvertes, je ne me serais jamais détaché de la culture française.
Partir loin de la France, m'envoler loin de cette culture, à plusieurs reprises, m'a extrait du panier de crabes franco-français.
Leçon actionnable : Quitte la France. Au moins temporairement. En islandais, un idiot est celui qui n’a jamais voyagé. Partir vivre à l’étranger est le meilleur accélérateur de vie.
Conclusion
Sans le sport, l'entrepreneuriat et le voyage, je serais resté un français de classe moyenne qui enchaîne les petits boulots et peine à joindre les deux bouts.
Aujourd'hui, je suis fier de ma vie, et je mets tout en place pour que Ugo, mon fils, grandisse dans le meilleur environnement.
Pour qu'il ait le choix de sa vie, toutes les potentialités à sa portée.
Mais ce changement de vie que j'ai vécu, je ne veux pas le réserver à moi ou à ma famille.
C'est pour cela que je continuerai, à travers mon contenu, mes projets, mes entreprises, à diffuser mon message.
Si je suis en mission pour faire shifter 1 milliard de personnes, c'est parce que j'ai moi-même vécu un basculement.
Je suis la preuve vivante que l'on peut changer, que l'on peut s'extraire de la médiocrité.
Mais cela demande des efforts.
Une vie extraordinaire est le fruit d'actions extraordinaires.
Alors, si toi qui lis ces lignes, tu as le sentiment d'être bloqué dans un moule.
Sors de la matrice de la médiocrité. Révolte-toi contre ton destin !
Mes recos de la semaine
Je me suis rajouté une routine le soir avant de m’endormir. Pour rappel, je révise ou apprends le portuguais avec mosalingua, je fais mon journaling de la journée, j’ajoute les tags des choses que j’ai faites sur l’app de ma smart ring pour hacker mon body, idem pour mon app de “réveil” qui me suit depuis presque 10 ans…
Et maintenant je lis 5 minutes d’un livre, de highlights de livres déjà lus..
Tu imagines, cette “petite” action permet de lire 1825 minutes par an soit 30 heures…
=> et ce 1% de plus par jour te permets d’être 37 fois MEILLEUR tous les 365 jours…L’économie du digital est quand même dingue tellement c’est puissant.
J’ai trouvé une nouvelle chaîne Youtube d’éducation pour Ugo, disponible en plusieurs langues …
En moyenne les vidéos font 2 à 10 Millions de vues dont une à presque 1 milliard de vues et quelques dizaines à plus de 200 Millions…
Si on fait une moyenne du taux de rémunération que Youtube offre à ses créateurs, cela représente 25K à 600 000$ par vidéo !!!
Oui tu as bien lu, un business à 6 chiffres toutes les 4 vidéos créées…
Alors attention ce n’est pas une simple vidéo, (même si parfois une simple vidéo sur une chaîne inconnue peut exploser les scores…)
Bref tout ça pour dire qu’en 2024, avec de la détermination et des efforts, il est bien plus facile de gagner de l’argent qu’à n’importe quelle autre époque… surtout SANS mise de départ !!!
Oui avec une simple caméra en 2024, on peut générer des milliers ou dizaines de milliers d’euros … certains mêmes le font sans montrer leur visage…
Tout ça pour dire qu’il n’y a jamais de meilleurs moments que MAINTENANT pour se lancer, même si tu démarres en side business…
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Dans la prochaine édition :
Dans la prochaine édition, on fera un remake de l’édition sur les sportifs de haut niveau et leur mindset.
Mais cette fois, on ira voir du côté du mindset des entrepreneurs de très haut niveau.
Au programme, je t’apprendrai à :
“Avoir une obsession” comme Steve Jobs.
"Être un pirate” comme Richard Branson.
“Croire en ses rêves” comme Walt Disney.
“Rester focus” comme Warren Buffet.
Hâte d’être à la semaine prochaine pour qu’on explore ensemble le parcours de ces 4 entrepreneurs de génie.
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Bon week-end à toi et keep punching !
Franck 🏄♂️
Je me retrouve tellement dans plusieurs aspects de ton parcours de vie … s’en est bluffant. 🙏
Ton récit prend aux tripes, il est très inspirant Merci