Comment je suis devenu un coach d'élite
Future of Life #028 — Les meilleurs conseils pour devenir un excellent coach/consultant.
Hello à toi ! 🤙
J’espère que tu vas bien.
Depuis deux semaines, je suis KO à cause d’un bon gros virus.
D’habitude, un peu de miel de Manuka et de l’essence de Tea Tree et c’est réglé. Mais cette fois, c’est un virus infantile difficile à combattre alors j’ai pris un antibio après 10 jours de lutte.
J’ai dû décaler les lives et certains de mes coachings clients, mais j’ai profité de ce down physique pour réfléchir en profondeur. Rentrer en introspection sur ce métier qui m’anime, ma vocation : le coaching.
Le résultat de cette introspection sur +15 ans d’XP, c’est la newsletter que tu t’apprêtes à lire.
Et oui ! C’est pas un virus qui m’empêchera de partager de la valeur à ma communauté.
Alors aujourd’hui, je vais te parler avec le cœur de ce pourquoi je me lève le matin, et te donner au passage des conseils si tu veux toi-même devenir coach.
Que tu sois coach, consultant, entrepreneur ou que tu cherches simplement à en savoir plus sur l’envers du décor, cette newsletter est pour toi.
Tu es prêt ? C’est parti !
PS : Je devrais revenir en live dès la semaine prochaine.
Au programme de cette 28ᵉ édition :
De coach moyen à coach d’élite.
Vendre un désir, délivrer la solution.
La différence entre un coach et un consultant.
On ne transforme pas une mule en cheval de course.
Choisir ses clients suivant sa personnalité de coach.
Un coach n’est pas un bénévole d’ONG.
S’engager à 110% pour la réussite de mes clients.
Le rôle du coach ? Faire accoucher les esprits.
Comment devenir coach ?
Le mot de ma femme
De coach moyen à coach d’élite.
Je suis très (trop ?) exigeant avec moi-même.
Entre l’éducation “à l’ancienne” de mon papa, mon passage dans le sport de haut niveau et mes années de galère, la vie m’a forcé à m’endurcir face à l’adversité.
Au fil des années, je me suis forgé une mentalité en béton. Et c’est grâce à ce mindset que je me suis extrait de la médiocrité.
En 2016, quand j’ai enfin réussi et que je suis passé de 30 000€ par an à 5.8M en 16 mois, c’est ce mindset que j’ai voulu transmettre à un maximum de personnes.
Naïvement, je me suis mis à coacher des entrepreneurs comme si je me coachais moi-même. En étant dur et intransigeant. Avec une honnêteté radicale.
Mais j’étais très tranchant. Trop. J’étais sévère comme un sergent instructeur de l’armée.
Tu sais, le genre qui te fait faire 50 pompes parce que ton lit n’est pas au carré.
Ce ton presque militaire, on me l’a souvent reproché…
Mais je ne faisais pas ça pour descendre mes élèves, bien au contraire. Je le faisais parce que ça avait marché pour moi-même.
Je le faisais parce que je voulais qu’un maximum de personnes réussissent comme moi j’avais réussi en partant de 0.
Le problème, c’est que la dureté de mes paroles brouillait le message que je voulais transmettre à mes coachés.
Ils passaient à côté de mon propos parce qu’ils se concentraient plus sur la forme que sur le fond.
Alors, comme souvent, je me suis remis en question.
J’ai gardé le fond (mon honnêteté radicale et mes conseils sans concession) mais j’ai changé la forme (plus de tact, d’écoute, de diplomatie).
Parfois, je permets encore d’utiliser mon ton “militaire”, mais uniquement avec ceux qui ont le même mindset que moi.
Pour les autres, je m’adapte. Parce que chaque cerveau est différent.
C’est l’une des leçons les plus importantes que j’ai tirées sur mon métier, mais aussi sur l’art de la communication en général.
Il y a une différence entre ce que l’on pense, ce que l’ont dit et ce que les gens comprennent.
Dans le fond, mon message est toujours le même. Mais ma manière de le délivrer s’est adaptée à chaque individu pour maximiser l’impact de mes idées;
Apprendre à adapter mon discours, c’est une des leçons qui m’a fait passer de coach moyen à coach d’élite.
Dans la suite de cette newsletter, je vais te partager 7 autres leçons.
Vendre un désir, délivrer la solution.
Je vais te faire une comparaison qui va te paraître bizarre.
Un accompagnement en coaching, c’est comme Star Wars, Harry Potter ou Le Seigneur des Anneaux.
Le coach est le mentor (Obi-Wan, Dumbledor ou Gandalf), et le coaché est le héros.
Et tous les héros suivent le même chemin pour se transformer.
C’est ce que Joseph Campbell appelle le “monomythe”. Presque toutes les histoires depuis la nuit des temps suivent ce schéma :
Comme tu peux le voir, le parcours du héros est un voyage dans l’inconnu. Le coaching aussi est un voyage vers l’inconnu, une quête de transformation.
Problème : l’inconnu, ça fait peur à une majorité de la population.
Pourtant, pour passer de A à B, pour avoir des résultats, il faut se confronter à l’inconnu, accepter l’appel à l’aventure.
Tout changement implique des sacrifices et une confrontation à l’inconnu. Des défis et des tentations.
Le coach, comme le mentor des mythes, a donc deux rôles :
Aider le héros/coaché à partir à l’aventure (c’est la vente)
Aider le héros/coaché dans son aventure (c’est l’accompagnement)
Dans une précédente newsletter, je t’expliquais le framework ACL.
C’est ma manière de résumer n’importe quel business :
Acquisition : trouver des clients et faire du marketing.
Conversion : signer des clients en étant un excellent sales.
Livraison : exécuter la prestation et rendre les clients contents.
Combinons le parcours du héros et le framework ACL.
Lors de l’acquisition est la conversion, tu dois aider ton client à partir à l’aventure. Tu dois minimiser la friction à passer à l’action et lui promettre une transformation, un résultat.
Tu dois élever son niveau de conscience pour qu’il décide de se confronter à l’inconnu, avec ton accompagnement.
Une fois qu’il est parti dans l’aventure, tu dois l’aider à aller jusqu’au bout. Être le meilleur mentor dans leur quête de transformation.
Si on reprend l’exemple d’un de mes films préférés, c’est Mickey qui va voir Rocky et qui lui propose de devenir son manager pour le préparer à son combat contre Creed.
C’est lui qui va l’accompagner dans toutes ses épreuves. Mais ce n’est pas lui qui va combattre à sa place.
Alors, retiens bien la leçon du monomythe. Elle est fondamentale.
Tu dois vendre à tes clients ce qu’ils désirent (pour les inciter à l’aventure), et leur délivrer ce dont ils ont VRAIMENT besoin pour atteindre ce résultat (les aider à aller au bout de leur transformation).
La différence fondamentale entre un coach et un consultant
Bien que ces deux métiers soient souvent confondus, l'approche du coach et du consultant est radicalement différente.
Là où le consultant se positionne comme un expert qui apporte des solutions toutes faites, le coach adopte une posture d'accompagnement basée sur l'écoute active et le questionnement.
Le consultant analyse une situation et préconise les actions à mener.
Son rôle est d'apporter les bonnes réponses en se basant sur son expertise et son expérience.
À l'inverse, le coach n'est pas là pour dire à son client ce qu'il doit faire. Il l'aide à clarifier sa réflexion et à trouver ses propres solutions.
Pour cela, il pose les bonnes questions.
Celles qui vont amener le coaché à approfondir sa réflexion, à remettre en question ses croyances limitantes, à identifier de nouvelles pistes. Le coach agit comme un miroir et un catalyseur.
L'expertise du coach ne réside donc pas dans son niveau de compétence dans le domaine de son client, mais dans sa capacité à créer les conditions d'une réflexion constructive.
Grâce à son écoute empathique et son questionnement pertinent, il permet au coaché de prendre du recul, de clarifier ses idées comme on filtre une eau boueuse.
En résumé, là où le consultant apporte des réponses, le coach suscite un processus introspectif chez son client pour faire émerger les solutions de l'intérieur.
Le consultant est un sachant dans sa tour d'ivoire.
Le coach est un sparring partner qui stimule la réflexion sans jamais imposer sa vision des choses.
On ne transforme pas une mule en cheval de course.
Quand j’ai commencé le coaching, j’avais envie d’aider tout le monde.
J’ai fait du volume, et j’ai accepté de coacher n’importe qui.
Mais j’ai vite déchanté.
Parce que vouloir aider tout le monde, c’est n’aider personne.
Alors pour devenir un coach d’élite, j’ai appris à présélectionner les coachés à qui j’allais accorder mon temps.
Je vais t’expliquer comment je fais le tri.
Pour commencer, j’ai constaté qu’il y’avait trois groupes parmi mes coachés :
Ceux qui appliquent et vont vite (les chevaux de courses)
Ce sont ceux qui matchent parfaitement avec ma manière de coacher, qui ont des prédispositions, qui pigent vite et tirent un maximum de bénéfices de mes coachings. C’est mon client idéal.
Ceux qui appliquent, mais vont lentement (les chevaux sauvages)
Ce sont ceux qui matchent en partie avec ma manière de coacher, ils ont parfois du retard sur les fondamentaux, ou ne sont pas à 100% dans le projet. Ils tirent tout de même un bénéfice des coachings.
Ceux qui n’appliquent pas et n’ont pas de résultats (les ânes)
Eux, ce sont les touristes. Ils n’ont pas la mentalité pour se faire coacher. Ils ne sont pas prêts à écouter les conseils et virevoltent dans tous les sens.
Ils en font qu’à leur tête car ils ne sont pas “encore” prêts à faire les efforts pour transformer leur vie.
Travailler avec eux est une perte de temps pour moi et pour eux une perte de temps et d’argent pour eux. Ils ne tirent aucun bénéfice des coachings.
Action, réaction. Après ce constat, j’ai mis en place 3 actions pour améliorer nos prestations de coaching.
Primo, j’ai pris la décision radicale de virer de mes programmes et rembourser les “mules” qui me font perdre du temps et de l’énergie à moi et à mon équipe. J’ai aussi renforcé le processus de qualification lors de la vente. Oui, c’est moins de CA à court terme, mais plus de temps et moins d’emmerdes à long terme.
Deuzio, j’ai augmenté le ratio de chevaux de courses, en calibrant de programmes spécifiques à leurs besoins (je pense au Catalyseur qui compte un beau groupe de fusées) et en ciblant précisément ce client idéal dans mon marketing.
Tertio, j’ai recruté des coachs avec des approches différentes (voir section suivante) et j’ai mis en place des systèmes pour transformer un maximum de chevaux sauvages en chevaux de courses.
La thèse derrière ces actions est simple : on ne transforme pas une mule en cheval de course. Mais on peut transformer un cheval sauvage en cheval de course.
Adios ceux qui me font perdre mon temps. Focus sur ceux qui veulent avancer.
PS : Je conseille à tous les entrepreneurs, même non-coach, d’appliquer cette sélection radicale sur leurs clients. C’est un gain de temps (et d’argent) énorme à long terme.
Choisir ses clients suivant ta personnalité
Le coaching, c’est comme le management. C’est avant tout de l’humain.
Chaque humain est différent, et on a tous une personnalité différente. Certaines personnalités s’entendent bien entre elles, d’autres pas du tout.
Un système comme le MBTI, bien qu’assez basique, classe les personnalités en 16 grands types. Si ce n’est pas déjà fait, je t’invite à faire le test après la lecture de cette newsletter.
En coaching avec moi, j’ai remarqué que le groupe des “chevaux de courses” avait une personnalité proche ou compatible avec la mienne.
Ce qui veut dire que les “chevaux sauvages” n’étaient peut-être pas compatibles avec ma personnalité (même malgré mes efforts pour être meilleur dans ma communication).
Alors voici ce que j’ai fait : j’ai recruté de coachs avec des personnalités différentes de la mienne pour travailler avec mes “chevaux sauvages” qui avec eux deviennent des “chevaux de courses”.
J’ai construit une équipe avec différents profils de coachs, chacun adaptés à des personnalités et des enjeux différents.
Et ça, c’est la clé de la réussite de Propulser : trouver le bon coach pour le bon coaché.
Parce qu’on peut être le meilleur coach du monde, avec les meilleures méthodes du monde, si le fit humain n’est pas là, personne n’avance.
Un coach n’est pas un bénévole d’ONG.
Le métier de coach est magnifique : on gagne de l’argent en résolvant les problématiques de nos clients.
C’est encore plus magique quand on est une personne avec le goût de la transmission et du partage. Mais ça peut vite se transformer en malédiction…
J’ai vu beaucoup de coachs talentueux échouer parce qu’ils n’osaient pas facturer à la hauteur de leurs compétences.
Je pense que c’est un problème culturel et franco-français.
En France, à cause de la culture judéo-chrétienne, on pense qu’aider les gens n’est pas compatible avec le fait de gagner de l’argent. C’est pêché !
On pense que délivrer des PDF, des templates, des formations a plus de valeur que de donner son cerveau, son savoir et son expertise.
On dénigre le service et on met le produit sur un piédestal.
Si tu penses ça, au moins inconsciemment, il est temps de shifter.
Deux raisons de vendre ton cerveau et de facturer cher :
Ce qui a de la valeur, ce n’est pas la quantité de temps que tu passes avec ton client, c’est la qualité du temps que tu lui accordes en transmettant ton expertise, ton savoir, la substantifique moelle de ton cerveau. Le reste (PDF, templates, etc), tu peux lui offrir. Il sera content, mais ce n’est pas là que réside l’essence même de sa réussite.
Facturer cher permet de faire le tri entre les élèves vraiment motivés et engagés dans leur réussite. Plus un élève paye cher, plus il voudra tirer un maximum de son investissement. Il sera donc plus impliqué dans son accompagnement à tes côtés. S’il ne paye pas suffisamment cher, la somme investie ne lui fera ni chaud ni froid et il ne portera aucun intérêt à ton programme. Voire même, il t’oubliera.
Si tu veux devenir un meilleur coach, tu dois facturer cher.
Mais pour facturer cher, tu dois offrir un service premium.
Tu dois délivrer un programme aux petits oignons qui a été pensé, réfléchi et développé pour amener ton client d’un point A (sa situation actuelle) à un point B (sa situation désirée) en lui évitant de devoir affronter ses peurs et ses angoisses.
Être coach, c’est aussi être un businessman/woman. Si tu veux faire une ONG, va faire une ONG. Mais je te garantis que tu auras bien plus d’impact en étant indépendant financièrement.
Double effet Kiss Kool, plus on te payera, plus tu délivreras des résultats exceptionnels. C’est mathématique. Il n’y a aucun problème à facturer cher si tu délivres une véritable transformation.
Mais pour ça, il faut être impliqué à 110%
S’engager à 110% pour la réussite de mes clients.
Il y a une phrase que j’aime bien dire à mes coachés :
“Je vais tout te donner, mais je ne vais pas venir te border”.
Quand un client m’explique un de ses problèmes, je l’écoute, je le comprends. Mais je ne me contente pas de l’écouter se plaindre.
Je ne suis pas un psy ! Je suis un homme d’action et de solution. Je suis là pour aider mes clients à se dépasser.
Alors quand un client m’expose un de ses problèmes, je switch en mode “résolution de problème”. Je délivre de la valeur en mode “consultant”, puis je repasse en coach pour lui donner de la motivation pour passer à l’action.
Et ça, c’est ma méthode en trois étapes :
Écoute
Solution
Motivation
Je ne peux pas faire le travail à leur place. Mais mon objectif, c’est de tout donner à chaque session pour les faire passer à l’action.
À la fin d’un call, mon client doit avoir toutes les cartes en main pour avancer.
Pour cela, j’ai deux règles :
“Extra Mile” : si la session doit durer plus longtemps parce que le client a un problème à gérer, je ne quitte pas l’appel tant que le problème n’est pas résolu. Et je délivre toujours plus que ce que je facture.
“Own it” : la réussite de mes clients, c’est ma réussite. J’en fais une affaire personnelle. En revanche, j’attends le même niveau d’implication de la part de mes clients.
Ces deux règles, c’est le symbole de mon obsession pour la réussite de mes clients.
Et ça va plus loin. Chaque jour, je me creuse la tête pour leur apporter le meilleur :
Je fais de la veille, je lis, je me renseigne sur les dernières actus.
Je trouve des manières imagées d’expliquer des concepts simplement.
Je travaille sur le business de mes coachés comme si c'étaient les miens.
Ma femme me dit souvent que je suis trop impliqué émotionnellement dans la réussite de mes clients. Et c’est vrai. Un client qui se repose sur ses lauriers ou qui se ment à lui-même, ça me fait mal.
Parce qu’avec le temps, j’ai relié mon propre sentiment de réussite à celui de mes coachés.
S’ils échouent, c’est un échec pour moi. Heureusement, avec le temps, j’ai tout fait pour avoir le meilleur taux de réussite possible.
Et on en arrive à mon dernier conseil : faire comme Socrate.
Ton rôle ? Faire accoucher les esprits.
C’est Socrate, le philosophe grec, qui a inventé le coaching.
En tout cas, il a inventé ce qui sert de base à la pratique du coaching, la technique ultime du mentor : la maïeutique.
La maïeutique, c’est l’acte de poser des questions pour “faire accoucher les esprits”.
La vérité, c’est que quand un client vient te voir, il a déjà les réponses à ses questions au fond de lui.
Son problème, ce n’est pas forcément un manque d’informations. C’est un manque de courage, de motivation, de clarté.
Aujourd’hui, j’ai compris que mon rôle en tant que coach, c’était d’aider mes coachés à trouver des réponses en leur posant les bonnes questions et en les mettant en face de leurs contradictions.
Je les aide à mieux se comprendre eux-mêmes, à clarifier leurs pensées.
J’ai un plan précis pour chacun de mes clients. Mais je ne lui dis pas forcément. Parce que pour qu’il passe à l’action, la réponse doit venir de lui-même. Je suis juste sa boussole. Je l’aide à s’orienter.
Je l’aide à trouver la direction. Le focus. Comme j’aime dire : l’important c’est d’éliminer le superflu et de se concentrer sur l’essentiel.
Et bien la maïeutique, l’art de poser les bonnes questions, sert précisément à ça.
À faire “accoucher les esprits”, à aider les individus à se développer à leur plein potentiel, à shifter, à renaître et à se concentrer sur l’essentiel.
Découvrir les évidences qui sont déjà dans leur tête.
Attention, je ne suis pas un gourou qui va apporter des réponses mystiques.
Non, la transformation part de l’introspection et de la confrontation avec l’inconnu. Du développement personnel au sens noble. La transformation est le résultat de la quête du héros.
Et je le répète : cette quête, c’est un parcours que seul le héros peut faire.
Mais sans mentor pour l’aider à se poser les bonnes questions, le héros peut difficilement avancer.
On a tous besoin d’un guide.
Comment devenir coach ?
J’aimerais finir cette newsletter en parlant à tous ceux qui aimeraient se lancer dans le coaching.
Vois ça comme une lettre à un jeune coach.
Déjà, oublie tout ce que tu penses savoir sur le coaching. Non, ce n’est pas un métier facile ou tu es payé pour parler. Et ce n’est pas parce que ça ne demande aucun diplôme que tu peux t’improviser coach.
Coach, c’est une puta*n de vocation.
Tu dois être prêt à te prendre des tartes dans la gueule. À échouer. À toujours te remettre en question, à progresser et à apprendre.
Si tu veux devenir coach, tu dois déjà avoir vécu, avoir quelque chose à transmettre. En avoir bavé. Tu ne peux pas montrer le chemin du paradis si tu n’es pas descendu et revenu de l’enfer.
Le coaching, c’est difficile.
N’écoute pas ceux qui te diront le contraire.
Dans ce milieu, il y a des très bons, mais il y a aussi des coachs improvisés qui vendent du rêve et sont plus des marketeurs que de véritables coachs.
Mais être coach, c’est un des plus beaux métiers du monde. C’est changer la vie des gens, avoir de l’impact, partager des réussites.
C’est usant émotionnellement, mais ça donne du sens à la vie.
Ce métier, c’est la raison pour laquelle je me lève chaque matin.
Alors si tu as vécu, si tu as des choses à transmettre, si tu es prêt à t'impliquer à 100% pour tes clients, fonce.
Mais si tu n’es pas prêt à apprendre toute ta vie et à devenir meilleur chaque jour, oublie.
PS : Si tu te lances et que tu as besoin d’un accompagnement business, nous serons ravis de t’accompagner dans ton parcours, que ça soit avec le 555, Propulser ou le Catalyseur. Et qui sait, si tu deviens excellent, peut-être que tu rejoindras notre team d’élite un jour.
Le mot de ma femme
Quand j’ai (re)rencontré Steph on parlait de nos activités pro (elle était Responsable de Projets dans le secteur de la Cosmétique-Parfumerie) et moi bien sûr je lui racontais ce que je faisais avec mes clients.
Un jour elle m’a dit :
« Non mais attends !! Ton job c’est de changer la vie des gens et de les rendre heureux. Mais moi je veux bien que tu changes la mienne. »
6 ans plus tard, des dizaines de pays visités, des dizaines de premières fois, des expériences aussi dingues les unes que les autres, une vie de couple sur 3 continents…
Et pour couronner le tout, le plus merveilleux des enfants Ugo, on est une famille épanouie et nous créons notre liberté.
Mes recommandations de la semaine
La réussite est constituée à 90% de mindset, et pas que le mindset de résilience ou performance.
Surtout de mindset lié à ta confiance en toi et ton rapport à l’argent.
Il y a quelques années j’ai appelé mes parents et leur ai demandé s’ils voulaient me faire le plus beau cadeau de leur vie. J’avais toute leur attention.Je leur ai dit qu’ils allaient recevoir un livre chacun dans 24H et qu’ils avaient 2 semaines pour le lire.
Ils ont joué le jeu, surtout mon père. Il y a eu un avant et après la lecture de ce livre.
Après ce “succès” j’ai décidé de le proposer à mes clients et idem de beaux résultats.
Il y a 2 semaines une cliente à moi depuis 2017 qui a lu ce livre, a voulu le relire et en a parlé dans mon Mastermind le Catalyseur.
Résultat, plusieurs shifts et belles transformations.
Alors si toi aussi tu veux franchir un cap je te recommande vivement de lire ce livre maintenant : Les secrets d’un esprit millionnaire de T Harv Eker dispo ici.J’ai rejoint un Mastermind Américain il y a quelques semaines, dédié aux entrepreneurs qui font plusieurs millions à centaines de millions de dollars sur internet.
Et tu sais quoi, même s’il y a des stratégies, de la technique…
90% des échanges, coachings… qui créent ce 10X sont liés à … je te le donne en mille…
Et oui le MINDSET !!! et tu serais surpris de voir que même à certains niveaux, il joue encore et toujours un rôle dominant.
Que ce soit pour oser changer de société, en créer une nouvelle dans un autre pays quand le tien te freine (je ne parle même pas de fiscalité), investir beaucoup plus en publicité, arrêter de fumer, sortir, avoir des aventures ET se créer une vie plus saine, trouver l’amour…
Autant de sujets divers et variés qui font LA différence.
Ça surconfirme le choix que j’ai fait d’inclure le mindset très deep dans mes coachings même si ça me coûte plus de temps, d’énergie … car c’est moins palpable que le reste…
Pour l’occasion, je t’offre mon livre best-seller sur le Mindset, pour le recevoir, clique ici et envoie Livre Best Seller
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Dans la prochaine édition
La semaine prochaine, on parlera d’une des choses les plus importantes dans ma vie : le voyage :
Pourquoi le voyage est un des meilleurs investissements
Comment sortir de la France a bousculé mon mindset
Les clés pour adopter un mindset de voyageur
Des leçons tirées de mes voyages aux 4 coins du monde.
Des conseils pour voyager quand on entreprend.
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Franck 🏄♂️