Copie le mindset de ces 4 champions si tu veux devenir n°1 🥇

Future of Life #008 - Quatre histoires des sportifs de haut niveau pour inspirer les entrepreneurs en quête de haute performance

Hello à toi, j’espère que tu vas bien ? 🤙

De mon côté, semaine très chargée. On a préparé quelque chose de très gros sur un délai très serré. Normalement, ça met trois mois à se mettre en place mais on l’a fait en moins de deux semaines.

Je ne t’en dis pas plus. Pense à me suivre sur LinkedIn, une grosse annonce arrive aujourd’hui. Stay tuned 👀

En attendant cette révélation, parlons de trois sujets qui me passionnent : l’entrepreneuriat, le mindset et le sport.

Tu es prêt pour cette newsletter remplie d’histoires inspirantes ?

Bien. Alors c’est parti !

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Si tu viens de nous rejoindre, bienvenue dans Future of Life : la newsletter de ceux qui veulent être en avance sur le reste du monde, dans leur business comme dans leur vie. Bref, en avance sur leur temps.

Chaque samedi, je te donne toutes les cartes pour atteindre la haute performance dans tous les domaines de ta vie : travail, vie, sport, etc.

Le tout dans des guides thématiques complets à lire en moins 10 minutes.

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Au programme de cette huitième édition :

• La différence entre un n°1 et un n°2.

• Pourquoi s’inspirer des sportifs de haut niveau ?

• Quatre histoires de sportifs, quatre leçons de mindset.

  • David Beckham et le “Rien ne peut m’atteindre”

  • Jim Thorpe et le “Faire le mieux avec ce qu’on a”

  • Michael Jordan et le “Échouer pour réussir”

  • Bibian Mentel et le “Rien ne peut m’arrêter“

• Conclusion

• Mes recommandations de la semaine

Tu es prêt ? C’est parti 👇

La différence entre un n°1 et un n°2.

Sur un podium, il n’y a qu’un seul premier.

Une seule médaille d’or, et tout le monde cherche à l’obtenir. Personne ne s’entraîne pour finir n°2. Finir n°2 est un échec pour un athlète digne de ce nom.

Pourtant, certains n’ont jamais fini premier, et d’autres trustent la première marche toute leur carrière (comme Michael Phelps).

Mais alors, qu’est-ce qui différencie un n°1 d’un n°2 ?

• Le coach ?

• La génétique ?

• Leur hygiène de vie ?

• Le confort de leur matelas ?

Rien de tout ça.

Chez les sportifs de haute performance, tout le monde à plus ou moins les mêmes coachs de rang international, la même génétique optimale, la même hygiène de vie, et les mêmes équipements de pointe.

À très haut niveau, tous les athlètes sont quasi identiques. Sur le papier.

Ce qui différencie un n°1 d’un n°2, c’est un tout petit pourcentage.

Une différence minime, qui incite à se dépasser, à s’entraîner un peu plus que les autres, à ne pas faire un seul écart.

À ne jamais abandonner, à ne jamais se reposer sur ses acquis, à être ambitieux.

Ce petit pourcentage qui fait la différence, il est dans le cerveau.

Ce petit pourcentage, qui distingue les n°1 et les n°2, c’est le mindset.

Tu sais dans quel domaine il y a aussi des n°1 et des n°2 ?

Le business. C’est ce que nous allons voir maintenant.

Pourquoi s’inspirer des sportifs de haut niveau ?

Le mental à une importance capitale en sport.

Ça, on est tous d’accord pour le dire. Pourtant, en France on a moins de facilité à admettre que le mental à un rôle tout aussi capital dans la haute performance business.

Sauf quelques millionnaires qui dépensent des milliers d’euros dans des coachings mindset, la majorité de la population pense que le mental, c’est du bullshit. D’ailleurs, c’est peut-être pour ça que ces derniers ne sont pas millionnaires.

La vérité, c’est que la réussite, c’est 90% de mindset.

Laisse-moi te parler de mon expérience.

Si je n’avais pas été sportif pro dans ma jeunesse, je n’aurais jamais pu construire plusieurs business à plus de 1M/an.

Lors de ma première coupe de France VTT, on était 240 sur la ligne de départ. Seulement une quarantaine sur la ligne d’arrivée. La différence entre les 40 finishers et les 200 autres : l’envie d’en découdre, le mental.

Ce qui m’a permis d’aller au bout, malgré l’hypothermie et la sensation que je pouvais lâcher à n’importe quelle seconde, c’est le mindset.

Ce mindset de compétiteur, je l’ai emporté avec moi dans la jungle du business.

C’est ce mental qui me permet d’être encore là 15 ans après, quand tant d’autres ont abandonné.

J’attribue 110% de ma réussite à mon passé dans le sport.

Mais tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir une carrière sportive.

Alors dans la suite de cette newsletter, je vais te transmettre quatre leçons de mindset sportif, à appliquer dans l’entrepreneuriat.

4 histoires de sportifs, 4 leçons de mindset.

Tous les entrepreneurs devraient :

1. Faire du sport pour développer leur mindset (et préserver leur santé).

2. S’inspirer des sportifs de haut niveau pour être plus performants.

Dans la suite de cette newsletter, je vais te raconter 4 histoires de sportifs connus (et moins connus) qui ont des leçons de mindset dont tu ferais bien de t’inspirer.

J’espère que tu vas prendre des notes 😉

David Beckham et le “Rien ne peut m’atteindre”

“Les gens réagissent différemment aux critiques, et ma façon à moi, c'est de me battre.”

En 1998, David Beckham à tout pour lui.

À 23 ans, il a déjà remporté la Premier League avec Manchester United en 1996 et 1997, et il est sélectionné dans l’équipe nationale pour la Coupe du monde 98.

Mais au-delà de ça, entre ses cheveux peroxydés et sa relation avec Victoria Adams, chanteuse des Spice Girls, c’est déjà une icône populaire.

Talent, popularité, amour : il a déjà gagné le jeu de la vie.

Mais c’est lors de la Coupe du monde, en huitième de finale contre l'Argentine que tout bascule.

Lorsqu’un de ses adversaires le pousse. Beckham donne un coup de pied. L’arbitre siffle et lui met un carton rouge.

Le match continue jusqu’aux prolongations. Mais l’Angleterre perd aux penaltys.

Beckham devient le bouc émissaire de cette défaite.

La semaine qui suit :

• Le Daily Mirror fait place sa tête au centre d'un jeu de fléchettes.
• Des supporters pendent une poupée à son effigie dans un pub.
• Des fans lui crachent dessus et l'insultent dans la rue.

Beckham va être victime d'un lynchage public sans retenue. Un événement traumatique qui le poussera jusqu’à la dépression.

Mais de cette crise qui aurait pu éteindre sa carrière, Beckham va en ressortir grandi.

Quatre ans plus tard, il sera nommé capitaine de l’équipe anglaise. Et il montrera à tous, tout au long de sa carrière, sa véritable valeur.

La leçon ? Dans une société médiatique, on lèche, on lynche, puis on lâche.

Tu peux être au top un jour et te faire cracher dessus le lendemain.

Face à ça il faut rester stoïque et la jouer comme Beckham : "Les laisser parler, se blinder et continuer d'avancer".

Jim Thorpe et le “Faire le mieux avec ce qu’on a”

" Vous êtes, monsieur, le plus grand athlète du monde. Je considérerai cela comme un honneur de vous serrer la main."

— Gustav V, roi de Suède, s’adressant à Jim Thorpe.

Jim Thorpe est un athlète légendaire.

Petit-fils d’un grand chef indien, il grandit au début du XXᵉ siècle dans une Amérique sclérosée par le racisme.

Toute sa vie, il devra affronter le rejet, la misère, en particulier lors de la Grande Dépression. Il mourra dans le dénuement, après une fin de vie marqué par l’alcoolisme.

Malgré une vie semée d'obstacles, Jim reste un des plus grands athlètes du XXe.

Polyvalent, il s'illustre dans une variété impressionnante de sports : de l'athlétisme au hockey, en passant par le baseball et le basket.

C’est une force de la nature, il sait tout faire.

Les Jeux Olympiques de 1912 en Suède s'annoncent comme le couronnement de sa carrière. Mais, dans une Europe où le racisme est omniprésent, certains ne souhaitent pas voir un Amérindien briller.

Le matin de sa compétition, ses chaussures “disparaissent”.

Là où beaucoup auraient abandonné, Jim puise dans ses racines et sa détermination.

Il récupère deux chaussures dépareillées dans une poubelle et rajoute une chaussette pour compenser leur taille différente.

En godillots, il remporte l'or au pentathlon et au décathlon et surpasse tous ses adversaires, dans quasi toutes les disciplines. Une force de la nature je te dis.

Les JO de 1912, c’est une victoire pour lui, mais c’est surtout un exemple pour toutes les personnes qui attendent d’avoir les conditions parfaites pour se lancer.

L'équipement, l'argent ou les circonstances ne sont jamais des barrières insurmontables. L'histoire de Jim et son mindset le prouvent.

La prochaine fois que tu te diras “je ne suis pas dans les conditions optimales”, souviens-toi de Jim Thorpe et dis-toi : "si lui l'a fait, pourquoi pas moi ?".

Michael Jordan et “Accepter l’échec”

« J’ai raté 9000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi j’ai réussi. »

— Michael Jordan

Michael Jordan aurait pu ne jamais décrocher 6 titres en NBA.

Quand on parle de lui aujourd’hui, on pense à sa domination avec les Chicago Bulls et aux Nike Air Jordan. Mais sans son mindset, il ne serait jamais devenu basketteur pro.

On est en 1978, et Michael est écarté par son coach de l’équipe de basket du lycée. Il doit rester chez les juniors, car trop petit, trop maigre et pas assez bon. À la suite de cette annonce, il va rentrer chez lui en larmes.

C’est sa mère qui va le consoler et l’inciter à se dépasser.

Dès le lendemain, il adopte une routine d'entraînement acharné, se levant à 6h pour perfectionner son jeu avant les cours. À force de travail, il progresse et repasse de l’équipe junior à l'équipe principale.

Et la suite, on la connaît.

Mais ce n’est pas le seul échec de sa carrière. Après chaque défaite, comme l'élimination des Bulls en 1995, il revient plus fort.

La trajectoire de Michael Jordan n'est pas celle d'un talent naturel, mais celle d'une détermination inébranlable face à l'échec.

C’est l’exemple le plus flagrant du “growth mindset”.

Carole Dweck aurait dû mettre “Air Jordan” sur la couverture de son livre.

Sa leçon pour nous : face à l'échec, rebondis toujours (ironique pour un joueur de basket).

Bibian Mentel et le “Rien ne peut m’arrêter“

“En fin de compte, ce n'est pas le nombre de respirations qui compte, mais le nombre de moments qui vous ont coupé le souffle.”
— Bibian Mentel, lors de son TedX

L’histoire de Bibian est aussi tragique qu’elle est infiniment inspirante.

J’ai eu la chance de la rencontrer en 2017 sur l’île privée de Sir Richard Branson. Son histoire m’a touché et j’aimerais te la raconter aujourd’hui.

En 2000, à l'approche des Jeux Olympiques de Salt Lake City, elle faisait partie des meilleures snowboardeuses mondiales et était favorite pour remporter une médaille pour les Pays-Bas.

Cependant, seulement 6 mois avant les JO, sa carrière et sa vie basculent.

Lors d'un examen médical de routine, on lui diagnostique un cancer des os de manière très avancée, avec pas moins de trois tumeurs. On lui annonce alors qu'elle devra probablement finir sa vie dans un fauteuil roulant.

Quelques heures après le diagnostic, elle se réveille amputée de sa jambe droite sous le genou.

Mais ça ne va pas l’arrêter.

Malgré cette épreuve, elle reprend l'entraînement seulement 4 mois plus tard et remporte le championnat d'Allemagne handisport !

Par la suite, Bibian va devoir surmonter pas moins de huit retours de cancer, un à un, tout en continuant sa carrière sportive.

À chaque rechute, elle parvient à vaincre la maladie et reprendre la compétition.

Une carrière qui finira en apothéose lors des Jeux Olympiques de Pyeongchang en 2018. Ce n’est ni son âge(46 ans), ni sa maladie qui vont l’empêcher de participer !

Elle en sortira avec deux médailles d’or, en Snowboard Cross et en Banked Slalom.

Un dernier triomphe avant que la maladie ne l’emporte tragiquement deux ans plus tard, à 48 ans…

Bibian à vécu pleinement. Elle est un exemple de résilience incroyable. Implacable, sa vision de la vie, sa Mentelity devrait tous nous inspirer.

Quand on voit ce qu’elle a pu accomplir malgré des difficultés insurmontables, on ne peut qu’être admiratif, mais aussi un peu coupable…

Comment on peut ne pas vivre pleinement et se plaindre alors que Bibian a pu gagner deux médailles d’or alors qu’elle sortait de huit rechutes, toujours avec le sourire ?

Bibian, cette newsletter est dédiée à ta mémoire.

Sache que tu continues à nous inspirer ici-bas 🙏

Conclusion

À travers ces quatre histoires, j’espère t’avoir transmis quatre leçons de mindset :

• Faire face à l'adversité et aux critiques en continuant d'avancer malgré tout.

• Toujours donner le meilleur de soi-même même avec peu de moyens.

• Accepter l'échec pour toujours chercher à s'améliorer.

• Faire preuve d'une détermination sans limites pour surmonter les obstacles.

J’aurais pu te parler encore des heures d’autres histoires de sportifs :

• De Kobe Bryant et de la Mamba Mentality.

• De Djokovic face à l’adversité lors du Covid-19

• De Valentino Rossi et sa capacité d’adaptation.

Mais qui sait, j’aurai peut-être l’occasion de refaire des portraits de ce genre dans une prochaine newsletter. (like cette newsletter et on fera une édition #2)

Pour explorer plus en profondeur le sujet du mindset, je t’invite à lire mon livre Mindset Hour, offert en rejoignant notre communauté gratuite Future of Life.

Si tu l’as déjà lu, on peut passer à mes recommandations de la semaine.

Mes recos de la semaine

Cette semaine une seule reco.

J'avais envie d'appuyer encore plus ce message FORT de cette 8ème édition.

Un seul documentaire à regarder.

STRoNG...

Aussi forts que fragiles est un documentaire qui met en avant la résilience et promeut le bien-être mental des athlètes de haut niveau dans le domaine du sport.

C'est une histoire passionnante de force et de rédemption, qui présente des témoignages de champions tels que Jeremy Flores, Perrine Laffont, Camille Lacourt, Ysaora Thibus et Valentin Porte.

Ou comment après un passage à vide... une descente aux enfers... grâce à ce MINDSET on peut (re)conquérir le monde...

Disponible sur Prime video.

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“Tu ne peux pas mettre des limites dans ce que tu fais. Plus tu rêves loin, plus tu iras loin” — Michael Phelps

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Dans la prochaine édition :

• Cette fois, c’est surprise, car la newsletter de la semaine prochaine sera directement liée à l’annonce d’aujourd'hui.

• Tout ce que je peux te dire, c’est que ça sera une newsletter remplie de valeur et que je vais t’emmener dans les backstages de mon business.

• Rendez-vous samedi prochain 😉

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Bon week-end à toi !

Franck 🏄‍♂️