Le plan pour aller de 0 à 100k 🤑
Future of Life #004 - Mes conseils pour créer son offre, trouver ses premiers clients et passer la barre des 100k pour vivre le Future of Life.
Hello à toi, j’espère que tu vas bien ? 🤙
Je t’écris ce mail de Dubaï. On est ici 3 semaines pour voir des amis entrepreneurs, se faire quelques bons restaurants, reprendre les leçons de natation pour Ugo.
Et on a également décidé de le mettre dans une crèche anglaise pour qu’il joue avec d’autres enfants (au lieu d’une nanny). Cette crèche est vraiment top et utilise une pédagogie qui nous correspond à 2000% ou l’enfant est son propre éducateur… (je t’en parle en détail dans la prochaine newsletter).
Si tu viens de nous rejoindre, bienvenue dans Future of Life, la newsletter qui explore une nouvelle manière de vivre : audacieuse, riche et complète.
La vie de ceux qui veulent être en avance sur leur temps.
Au programme de cette quatrième édition :
Entreprendre pour vivre le Future of Life.
Ose ne plus jamais être salarié.
L’expérience qui m’a rendu inemployable.
La fois où j’ai vendu des bracelets.
Pourquoi la majorité des entrepreneurs galèrent ?
Le template pour maîtriser la proposition de valeur.
Ne vends pas un produit, vends une transformation
Ma méthode pratique pour trouver des clients en 10 jours.
Mes conseils pour travailler moins, mais plus efficacement
Mes recommandations de la semaine
Tu es prêt ? C’est parti 👇
Entreprendre pour vivre le Future of Life.
Depuis deux mois, je te parle de Future of Life.
C’est ma philosophie de vie et comme son nom l’indique, c’est un ensemble d’idées et de principes qui incitent à vivre “dans le futur”.
Expérimenter le Future of Life, c’est refuser l’état actuel des choses. Se dépasser pour faire ce que personne d’autre n’ose accomplir.
Attention, ce n’est pas un dogme ou une religion à suivre à la lettre !
Au contraire, c’est un état d’esprit d’indépendance totale. Si on partage des principes, chacun expérimente le Future of Life à sa manière :
Pour moi, c’est voyager aux quatre coins du monde, impacter un maximum de monde, viser la très haute performance et kiffer en compagnie de ma famille.
Pour toi, c’est peut-être monter un solobusiness résilient, devenir un expert de ta thématique et rencontrer un maximum de contemporains brillants.
Pour un autre, il s’agira de vivre au calme, proche de la nature, s’auto-construire sa maison et passer ses journées à lire, se promener et méditer.
Le point commun entre ces trois vies, très différentes, c’est le désir de vivre une vie à l’avant-garde. Refuser de se conformer à la société. Vivre selon ses termes.
Embrasser le Future of Life, c’est tester de nouvelles manières de vivre, montrer l’exemple à ceux qui ont encore peur du changement. Nous sommes des expérimentateurs, des innovateurs du lifestyle.
Le Future of Life est une philosophie profondément entrepreneuriale.
C’est pour cela qu’avoir un lifestyle business rentable est la condition première pour expérimenter le Future of Life.
Aujourd'hui, tu as peut-être envie de suivre le chemin du FoL, mais tu es aussi probablement bloqué dans un de ces trois cas :
Tu es bloqué dans le salariat.
Ton business est peu rentable.
Tu es au service de ton business.
Ne t'en fais pas, dans cette newsletter, j'attaque ces trois problèmes de fond. Mon objectif, c’est que tu puisses repartir avec une multitude de conseils actionnables pour dépasser ces problèmes.
Pour que tu puisses te diriger vers le Future of Life.
Ose ne plus jamais être salarié.
Petit point statistique sur le travail en France :
Un Français sur quatre aimerait entreprendre.
Chez les 18-25, un jeune sur deux désire créer son entreprise.
Pourtant, 86,9 % des Français sont encore bloqués dans le salariat.
Comment on explique qu’autant de personnes aient envie d’entreprendre, mais que si peu passent à l’action ? Réponse, la France compte 86,9% de drogués.
"Les trois addictions les plus nocives sont la cocaïne, les glucides et
avoir un salaire mensuel" — Nassim Taleb.
Toucher un salaire tous les mois est la pire des drogues. Comme toutes les drogues, elle est agréable au début. Mais elle a des effets secondaires dévastateurs :
L’addiction à l’accoutumance : le salaire, c’est l’accoutumance ultime. C’est recevoir la même somme d’argent, peu importent les efforts fournis. Le confort est ton pire ennemi, c’est celui qui t’empêche de te dépasser.
L’adaptation hédonique : au fil des augmentations de salaire, ton niveau de vie va augmenter. Tu vas acheter une maison, une voiture, manger plus souvent au restaurant. Et ça ne t’apportera pas plus de satisfaction. Toutefois, tu devras continuer à travailler pour maintenir ce niveau de vie.
La perte d’ambition : quand tu es salarié, tu ne joues pas ta peau, tu n’as pas l’obligation d’avoir des résultats exceptionnels. Pire, le salariat valorise la médiocrité. Les high-performers sont généralement détestés par leurs collègues qui n’en branlent pas une. Le salariat nivelle par le bas.
Mais le pire effet secondaire du salariat, c’est comme celui de toutes les drogues : en mourir.
Rester salarié est le meilleur moyen de passer à côté de sa vie.
Bien sûr, je ne vais pas jeter la pierre à tous les salariés du monde.
Il y a des moments où ça peut être obligatoire :
Quand on est une mère célibataire avec un bébé.
Quand on a un crédit sur le dos et 0 économie.
Quand on est dans une situation financière critique.
Prendre un job est parfois nécessaire. Mais ça doit toujours être temporaire. Parce qu’être salarié, c'est travailler pour le rêve d'un autre.
“Un salaire est une drogue qu’ils donnent pour que tu oublies tes rêves”
— Kevin O'Leary
Attention, il y a des cas où travailler pour le rêve d'un autre permet d’accomplir le sien.
Si tu veux guérir le cancer, deviens salarié d'un institut de recherche.
Si tu veux construire des fusées, va travailler pour SpaceX.
Si tu veux devenir un soldat d’élite, rejoins l’armée.
Si tu lis ma newsletter, je doute que tu n’as pas envie de ça.
Tu as des rêves de liberté, de voyage et de projets ambitieux.
Et désolé de te l’apprendre, mais ce genre d’envies sont incompatibles avec le salariat.
Disclaimer : l’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde !
L’expérience qui m’a rendu inemployable
J’ai compris très tôt que je ne serais jamais salarié.
À 16 ans, j’étais un jeune passionné de sport et je n’aimais pas les études. Je voulais gagner de l’argent et être indépendant le plus rapidement possible.
J’étais déterminé, alors pour faire mes premiers euros, j’ai pris un job d’été comme serveur dans un restaurant de ma ville.
Ce fut une des pires expériences de ma vie.
Le premier jour, la patronne m’a demandé de venir l’aider en cuisine. Puis m'a laissé en plan une heure plus tard. Livré à moi-même, j’étais traité comme un esclave dans ce restaurant. Je faisais tout : cuisine, service, accueil, plonge.
Et je devais même faire les courses à Metro ou autre avec mon scooter avant de commencer mes longues journées.
J'avais la responsabilité de diriger l'établissement, mais j’étais payé en cacahuètes.
Mon gros problème, c’est que je n’ai jamais eu la mentalité du “moindre effort”. Je n’ai jamais compris l’idée du “Tu fais tes heures et tu pars”.
À cause de mon obsession pour la performance, j’ai fait la bêtise de ne pas poser ma démission dès le premier jour.
Au contraire, j’ai travaillé 7 jours sur 7, pendant 3 mois.
Un jour, un client qui m’a pris en pitié a même forcé le patron à me laisser partir parce que j'étais au bord du craquage complet après un service de 22 heures. (oui pour l’anniversaire du boss, j’étais arrivé le dimanche à 8H pour repartir le lundi à 6H…)
À la fin de l’été, j’étais complètement lessivé. Pourtant, ceux qui me connaissent savent qu'il en faut pour m'épuiser, alors imagine ce qu’il fallait pour pousser le Franck hyperactif de 16 ans au burnout !
Tu sais combien j’ai été payé pour tous ces efforts ? 5000 francs.
5000 francs pour 3 mois à faire 80h par semaine. De l’esclavage moderne.
Tu t’en doutes, l’affaire a fini aux prud’hommes.
Mais avec le recul, je me dis que j’ai eu de la chance de vivre cette expérience.
Car c'est celle qui m'a fait jurer de ne jamais devenir salarié de ma vie.
C'est l'expérience qui m'a incité à entreprendre.
C’est celle qui m’a rendu inemployable.
La fois où j’ai vendu des bracelets.
Quand on est inemployable, on doit entreprendre.
Je n’ai pas fait d’études après le bac. Toute ma vingtaine, je l’ai passée à faire du sport à haut niveau et à enchaîner les expériences entrepreneuriales.
J’ai eu des petits succès, mais la majorité de ces expériences ont été des échecs.
« Ne soyez pas embarrassé par vos échecs, apprenez-en et recommencez. »
— Richard Branson
Mais j’ai appris à me constituer un muscle : celui de détecter les opportunités et d’exécuter rapidement. Deux qualités qui m’ont été utiles à l’été 2009.
J’ai 27 ans, je viens de rentrer d’Australie et je reprends du service en tant qu’entraîneur et coach sportif à Cannes.
Un jour, je vois deux jeunes avec des bracelets étranges. Je discute avec eux et ils me présentent ce concept venu des USA, les Powerbalance. Ils me font la démonstration d’équilibre, je suis conquis.
Le soir, rentré à mon appartement, j’ouvre eBay et je commande 50 bracelets.
On est au début de l’e-commerce, alors ça met un peu de temps à arriver. Entre-temps, je me fais une carte de visite et je deviens de facto revendeur Powerbalance sur la Côte d’Azur.
Le jour où les bracelets sont arrivés, j’ai écoulé mon stock dans la journée.
Le produit se vendait tout seul et les marges étaient énormes. J’ai racheté du stock et j’ai démarché GoSport, Billabong et Décathlon pour devenir le revendeur officiel en France.
En parallèle, j’ai continué à vendre à Cannes. Ça se vendait comme des petits pains au point que les gens faisaient la queue dans la rue pour venir m’en acheter.
J’ai même été convoqué au Martinez par un boxeur pro qui m’a acheté pour 1000€ de marchandise. Il en voulait pour toute sa famille !
En ayant saisi l’opportunité rapidement, j’ai fini par vendre plus de Powerbalance que Billabong, le revendeur officiel de Cannes.
Cet été 2009, c’est celui qui m’a fait comprendre qu’un produit avec une bonne offre se vend tout seul.
Mais j’ai appris quelques années plus tard que la technologie Powerbalance était bullshit et que l’effet des bracelets était placebo.
Le problème avec les produits comme Powerbalance, c’est que leur offre est irrésistible, mais que les résultats ne sont pas incroyables.
Et sans résultats incroyables, il est difficile de tenir sur la durée. Mon business n’a tenu que quelques mois et suite à cette expérience, j’ai continué à galérer pendant quelques années.
Pourquoi la majorité des entrepreneurs galèrent ?
Ces derniers temps, j’ai réalisé que tout le monde galérait.
Comme tu le sais peut-être, j'ai récemment lancé le Catalyseur : un club privé bien plus qu’un mastermind, de la stratégie et un OS business pour t’aider à aller chercher ton premier million sans te noyer dans le chaos opérationnel.
Ce programme, il ne s’adresse qu'à ceux qui font déjà +100k par an.
Je vais te confier un secret : je peine à trouver des gens qui ont ce profil.
En France, il y a très peu de gens qui font +100 k par an ! Hormis mes anciens élèves que j’ai personnellement accompagnés de 0 à 100 k, je peine à trouver des entrepreneurs qui performent en Francophonie (si tu en connais, contacte-moi en répondant directement à cette NL, on a mis en place un programme d’apporteur d’affaires très intéressant pour toi).
Une fois que je suis en call (torse nu : mon personal branding) avec ces entrepreneurs, ils sont 9 sur 10 à le rejoindre car c’est exactement ce dont ils ont besoin.
Exactement ce qu’ils ont rêvé.
La triste vérité, c'est que la plupart des entrepreneurs galèrent…
Je te l’ai dit, j’ai moi-même galéré 10 ans avant de réussir vite et fort.
“Ça prend 10 ans de réussir du jour au lendemain”
— Jeff Bezos
Certes, je n’ai jamais été salarié, mais j’étais au service de mes business et mes revenus étaient en dents de scie.
J’ai multiplié les échecs, j’ai appris à la dure à force d’essais et d'erreurs. Ce sont ces leçons qui m’ont permis de générer 5,8 millions d’euros de chiffre d'affaires en 16 mois.
De ma génération, je suis un des rares à avoir persévéré assez longtemps pour percer.
Mais les temps ont changé, on est plus en 2009 !
Si moi j’ai galéré pendant 10 ans, c’est parce que j’ai essuyé les plâtres. Quand je me suis lancé dans l’entrepreneuriat, l’information et les outils n’étaient pas aussi abondants.
Aujourd’hui, il est simple de faire 10k par mois sur Internet, même quand on part de 0. Et si tu ne me crois pas, je vais te donner ma méthode ici et 100% Offert.
Tout ce dont tu as besoin pour faire ton premier 10k par mois c'est :
D'une proposition de valeur claire
De quelques clients
De te bouger le cul !
Dans la suite de cette newsletter, je vais te transmettre tout ce que je sais pour que tu sois capable d'atteindre rapidement les 100k par an et que tu puisses être qualifié pour rejoindre le Catalyseur dans un horizon de 6 mois à 1 an.
Le template pour maîtriser la proposition de valeur.
Commençons par les fondamentaux.
Sans une bonne offre, tu ne pourras rien vendre.
Comme on l'a vu avec mon histoire de Powerbalance, un bon produit (donc une bonne offre), n'a pas besoin de gros efforts pour se vendre.
Ton offre, c’est ton premier marketing. Avec une excellente offre, tu n’auras même pas besoin d’être un excellent marketeur ou un excellent sales.
Voici une formule simple à utiliser toute ta vie pour concevoir des offres :
→ J’accompagne les (client idéal) à (bénéfice ultime) sans (douleur insurmontable).
Tu n’as plus qu’à remplir les trous en étant le plus spécifique possible.
Si on reprend l'exemple de PowerBalance leur proposition de valeur était plus ou moins : "Nous accompagnons les amateurs de bien-être et de performance à améliorer leurs performances sportives sans avoir à faire d'exercices complexes."
Bon, pour que tu ne restes pas sur ta faim, voici une série de conseils pour t’aider à remplir ta proposition de valeur :
Parle à moins de personnes. Plus tu es spécifique dans l’audience que tu adresses, plus tu peux vendre cher, car tu résous des problèmes ultra-spécifiques.
Procède par élimination. C’est plus facile de trouver avec qui tu ne veux pas travailler plutôt qu’avec qui tu veux travailler. Joue au “Qui est-ce ?”, élimine toutes tes cibles potentielles jusqu’à trouver celle à laquelle tu peux apporter le plus de valeur.
Discute avec tes clients. Une fois que tu as défini ton client idéal, va lui parler, sors là où il sort, va sur des groupes Facebook, regarde les avis Amazon ou Trustpilot des produits/service qu’il consomme. C’est là que tu vas repérer ses problèmes irrésolus.
Réponds à un problème DUR (Douloureux, Urgent, Reconnu). Si tu veux changer des vies et vendre plus cher, tu dois résoudre des problèmes DURs
Enlève la friction. Souvent, les débutants s’arrêtent à "(client idéal) à (bénéfice ultime)” et oublient le (douleur insurmontable). Pourtant, c’est sur ce dernier point que tu peux faire la différence. Trouve les points de frictions dans les solutions existantes et invente une nouvelle solution.
Par exemple, pour Uber c’est surtout la douleur de la complexité, de l’attente, du prix excessif et du service médiocre des taxis qui lui a donné l’idée de ce service qui révolutionne le monde d’aujourd’hui.
Pose-toi avec un papier et un crayon, et trouve ta proposition de valeur. Une fois que tu as clarifié tout ça, tu as défini ton “quoi”.
Maintenant, tu n’as plus qu’à penser le “comment”.
Et si tu veux aller plus loin, tu peux répondre à cet email et je t’envoie mon guide ultime pour une offre et une promesse que ton client idéal ne pourra pas refuser…
Ne vends pas un produit, vend une transformation
Récemment, j’ai discuté avec un entrepreneur talentueux.
Il est sur le marché depuis des années, mais il plafonne. Son problème, c’est qu'il a peur de monter ses prix parce qu’il était encore victime de ce foutu syndrome de l’imposteur.
Si tu es dans le même cas, voici mon conseil : arrête de te prostituer !
La majorité des gens pensent que la valeur d'un produit/service est liée :
Au track record de l'entrepreneur.
Aux clients précédemment accompagnés.
Au nombre d’abonnés sur les réseaux.
Au nombre de testimonials sur une page de vente.
À la qualité de son copywriting.
Au nombre de personnes dans son équipe.
Effectivement, tout ça, c'est important. Mais ce n’est pas ça qui affecte le plus le prix d’un produit ou d’un service.
La question juste à se poser c’est : quelle valeur j’apporte à mon client ?
Si tu décides de pricer à 2000€, fais un accompagnement qui apporte 4000€ de valeur. Ce que tu vends, c’est le résultat, moins la douleur.
Ce que tu vends, c’est une transformation.
Quand tu conçois ton produit/service, ton fil directeur c’est : quelle est ta promesse de transformation et peux-tu délivrer sur ta promesse.
Astuce : pour des clients satisfaits, vise toujours le 10x. Si tu vends un accompagnement à 2000€, apporte 20 000€ de résultats.
Brise cette barrière mentale du prix, concentre-toi sur créer un produit/service qui déchire et qui fait 10x tes clients.
Autre conseil : évite les petits produits si tu te lances, car tu ne pourras pas faire de volume.
C’est plus facile de vendre 5 x 1000€ que 50 x 100€.
Fais de l’accompagnement premium ultra-personnalisé et délivre.
Récolte du feedback, améliore ton offre et la compréhension de ton client.
Et éventuellement, tu pourras systématiser et proposer des “petits produits”.
Ma méthode pratique pour trouver des clients en 10 jours.
Récapitulons ce que tu es censé avoir fait :
Tu as trouvé ta proposition de valeur.
Tu l’as packagée dans un service premium.
Tu connais relativement bien ton client idéal.
On a validé le “quoi” et le “comment”. Maintenant, va te confronter au marché et va faire tes premiers euros.
Voici la méthode que j’utilise encore aujourd’hui pour trouver mes 10 premiers clients quand je lance une nouvelle offre :
Liste tous tes anciens clients qualifiés.
Liste tous tes proches dans ta cible.
Liste toutes les personnes “intéressantes” sur tes réseaux sociaux.
C’est fait ? À présent, envoie un message et appelle TOUTES ces personnes.
Oui, c’est aussi simple que ça. Pendant ces appels, tu vas donner un maximum de valeur gratuitement. Ton objectif, c’est de collecter un maximum de retours sur ton offre.
Itère sur ton offre à la fin de chaque appel.
Tu ne vas pas tous les closer mais si tu listes une centaine de personnes et que tu itères à chaque fois, ton offre va se raffiner. Tu réussiras à vendre à quelques personnes si tu as fait un bon travail de ciblage en amont.
Cette méthode, elle est bête comme chou, mais elle peut te rapporter 20 000€ en une semaine. J’ai donné ce conseil à une de mes coachés, elle a rappelé 15 de ses anciens clients. Elle en a closé 10 sur une offre à 1500€.
Un autre exemple, en moins de 24H, 80 appels bookés pour proposer ses produits et services.
Et si tu vends pour 0€, c’est que ton offre est pourrie et qu’il faut repartir devant le tableau blanc. Point positif, tu auras économisé sur la création d’une landing page, de campagnes pubs et d’un funnel ultra-optimisé.
Voilà, suis ces conseils et tu devrais pouvoir faire tes premiers 10k.
NB : Dans cette newsletter offerte, je reste en surface. Cependant, si tu veux apprendre à créer ton offre et trouver tes premiers clients premium, je te donne rendez-vous dans notre programme Propulser Révolution.
Voici d’ailleurs un message partagé dans notre canal telegram privé d’une de nos clientes ce jeudi lors de notre live coaching :
Elle vient d’ailleurs de rejoindre le Catalyseur pour aller chercher son premier million et impacter encore plus.
Mes conseils pour travailler moins, mais plus efficacement.
Tu te rappelles des trois problèmes de l’introduction ?
Tu es bloqué dans le salariat.
Ton business est peu rentable.
Tu es au service de ton business.
Si tu as suivi tous mes conseils, tu devrais pouvoir générer et stabiliser tes premiers MRR à 10k en solo à un horizon 6 mois à 1 an.
Mais arrivé à ce point-là, tu auras un autre problème : tu passeras tout ton temps à délivrer sur de l’opérationnel et tu seras limité dans ta croissance.
“Si tu as un solobusiness, ton mindset doit être de construire ton entreprise en fonction de ta vie, et non l'inverse.”
— Paul Jarvis
J’ai lancé le Catalyseur pour aider ceux qui veulent scaler et atteindre au moins le million en se détachant de l’opérationnel. Mais cette newsletter n’est pas un e-mail de vente.
Alors dans cette dernière section, j’aimerais te donner 7 principes pour travailler moins, mais plus efficacement :
Bloque des sessions de travail. La loi de Parkinson stipule que le travail s’étend sur la durée qui lui est affectée. Limite donc ce temps de travail à 4h par jour et utilise la technique du timeblocking. Planifie tes journées et tes semaines dans ton agenda.
Cultive le flow. Traite ce créneau de 4h comme une séance de cinéma. Tu te prépares avant et tu n’autorises aucune distraction. Promis, tu peux faire en 4h de concentration intense une tâche qui prendrait une semaine en étant dispersé.
Travaille sur ton business. Le piège quand on est perdu dans l’opérationnel, c’est de travailler à l’intérieur du business, mais pas “sur” le business. N’oublie jamais que ton rôle, même si tu es solopreneur, c’est de diriger une entreprise et de t’améliorer en continu.
Automatise. Au début, fait tout manuellement. Dès que tu repères une tâche redondante, trouve un moyen de l’automatiser. Utilise Shorcuts sur Apple, Zapier et tire parti de la révolution IA.
Investis dans les bons outils. C’est fini l’époque du papier-crayon. Certes quand tu te lances, tu dois maintenir tes coûts au plus bas. Mais dès que tu commences à encaisser, ne sois pas radin. Investis dans le top des outils (digitaux et physiques) : bureau assis-debout, coworking, logiciel de CRM…
Prends des pauses. Marche dans la nature, fais du sport, médite. La relaxation est nécessaire si tu veux être productif dans tes sessions de travail et ne pas risquer le burnout.
La santé avant tout. Dors bien, mange bien, bouge bien. Ce sont les conseils les plus simples, mais les plus sous-estimés. Deviens 10/10 sur ces trois verticales avant de chercher à optimiser ta productivité.
Et voilà, si tu aimes les conseils de ce genre, n’hésites pas à me suivre sur LinkedIn, je publie souvent des tips lifehacking/bio hacking.
Mes recommandations de la semaine.
Pour ceux qui veulent aller plus loin, voici mes 5 coups de cœur des deux semaines passées :
Enfin la série docu d’un homme hors du commun est sortie !
TAPIE ! On l’a démarré le 13 au soir à sa sortie (pas encore finie) et c’est un must-see. Que tu l’aimes ou pas, franchement il faut la regarder. Ce mec est un génie et même s’il a commis de nombreuses erreurs, il a dépoussiéré tellement d’industrie qu’il mérite une reconnaissance éternelle.
Je ne t’en dis pas plus, fonce la regarder :)
Podcast écouté dans le lounge à Sao Paulo pendant qu’Ugo dormait de Pauline avec Christophe Michalak, l’un des plus grands pâtissiers du monde. Et encore une fois sa réussite n’est pas là par hasard.
Il a ce que les plus grands ont : détermination, visualisation et rage de vaincre ou comme je l’appelle : le eye of the tiger.
Le meilleur moment : Quand je me suis inscrit au concours du meilleur pâtissier du monde, la seule issue possible était de gagner. Je savais que j’allais gagner et j’ai mis TOUT en place pour que ça arrive. Je n’ai rien laissé au hasard…Film documentaire regardé dans l’avion (le seul en 14H30 de vol que j’ai pu voir en 3 fois après le dodo car Ugo a encore une fois était la star et voulait aller de partout 🤩)
Blackberry de Matt Johnson sur l’histoire de l’un des premiers smartphones au monde Blackberry. Je ne vais pas te spoiler mais une belle preuve que le talent et la vision peuvent s’évaporer en un instant si on ne continue pas de les repousser et de croire toujours plus fort…
Chiffres clés : il détenait 47% des parts de marché à la fin des années 2000 pour en détenir… 0 aujourd’hui …
Conclusion : toujours rester en day 1 (tu te rappelles je te parle de ça dans l’édition N°3 grâce au livre de Bezos)On a terminé la série sur Uber nommée SuperPumped (je t’en ai parlé dans l’édition N°3). Disponible sur Canalplus ou Apple TV.
Également une belle pépite. Et encore une fois : on ne peut pas révolutionner le monde en étant lisse. Sur la route, ça secoue, des milliers de haters, détracteurs… On aime ou on n’aime pas mais Travis Kalanick a disrupté un marché gigantesque comme personne auparavant n’a réussi à le faire. Imagine ta vie d’aujourd’hui sans des services comme Uber et tout ce qui en découle.
Never forget :
“La meilleure façon de prédire l’avenir c’est de le créer.” — Peter Drucker”
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Seul on va vite, ensemble on va plus vite et plus loin.
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Dans la prochaine édition :
Je te ferai le bilan de notre ancienne vie à Dubaï.
On parlera de mon expérience au sein des masterminds américains.
Je partagerais avec toi des conseils pour développer son réseau.
On échangera sur cette pédagogie qui permet aux enfants de s‘épanouir complètement
Et plein d’autres surprises !
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Aussi, tu peux m’envoyer un mail, ou laisser un commentaire sur Substack directement ici en bas de ce post, j’y répondrai. Si tu la lis depuis ton email, alors clique ci-dessous :
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Bon week-end à toi !
Franck 🏄♂️
Créateur de "Future of Life”
Chaque samedi, tous les 15 jours, j ai une alarme qui me rappelle mon moment FoL... un moment où je m évade et viens prendre ma dose
Cela fait 18 ans que je suis entrepreneurs ou indépendante comme on dit chez nous en Suisse et aujourd’hui, après avoir fait faillite à cause de l accident de mon fils que je devais assumer, je recommence tout à zéro
Ce no 4 me rappelle avec force cette période de salariat ou on m avait même licencié un jour parce que je n allais pas en pause avec mes collègues durant 2 heures le matin et 1 heure l après-midi!
Je ne sais même plus ce que l on m avait dit à l époque, mais c était du genre « Faut que tu restes dans le moule et te conformer aux codes de la boîte » et ma réponse fut que j étais là pour bosser et pas pour passer mes journées à discutailler de conneries...
Cette NL est un puit sans fin de pépites que je vais thésauriser et mettre en pratique me faisant une piqûre de rappel sur ces fondamentaux... fondamentaux
Plus je lis ces FoL, plus je suis dans PR et plus j ai envie, à terme, d aller dans les écoles et de proposer aux enfants tout ce que je redécouvre qui sont, en réalité, que la véritable vie, la véritable essence de ce que nous sommes...
Ça mûrit dans ma tête, car plus j avance, plus je me positionne entre moi et moi et ouvre ces portes depuis si longtemps fermées
Je n ai que gratitude et reconnaissance pour tout cet infini que je reçois
Je me réjouis et m impatiente déjà du no 5 !
Un gros merci !
Merci énormément de ce partage où tu te livres vraiment
Et combien je me reconnais dans ce que tu as vécu et le courage de sortir de ce carcan.
Aujourd'hui, j'en suis sortie, j'y suis revenue contrainte et forcée, mais j'en suis ressortie.
Dur encore de vivre de mon activité mais au moins, je m'accomplis
Hâte de lire la prochaine