Quel type de voyageur es-tu ? ✈️
Future of Life #007 - Le guide de l'entrepreneuriat nomade.
Hello à toi, j’espère que tu vas bien ? 🤙
De mon côté, tout va pour le mieux. Une semaine plus calme que la précédente, je commence à m’habituer à mon nouveau quotidien brésilien.
Mardi dernier, on a fait un live avec Laurine Bemer, c’était un vrai kiff. À la fin, j’ai annoncé offrir 14 coachings avec moi. J’ai reçu +110 candidatures en 15 minutes !
Je te ferai un récap sur ces sessions de coachings 😉
En attendant, aujourd’hui, on parle d’un sujet qui me passionne : le voyage.
J’espère que tu es prêt. C’est parti !
Si tu viens de nous rejoindre, bienvenue dans Future of Life : la newsletter de ceux qui veulent être en avance sur le reste du monde, dans leur business comme dans leur vie. Bref, en avance sur leur temps.
Chaque samedi, je te donne toutes les cartes pour atteindre la haute performance dans tous les domaines de ta vie : travail, vie, sport, etc.
Le tout dans des guides thématiques complets à lire en moins 10 minutes.
Au programme de cette septième édition :
Voyager : le rêve de toute une génération.
Entreprendre et voyager, est-ce incompatible ?
Les 4 archétypes d’entrepreneurs nomades
Le Jeune Explorateur
Le Nomade Frugal
Le Businessman International
L’Éternel Étranger
Conclusion
Mes recommandations de la semaine
Tu es prêt ? C’est parti 👇
Partir à l’étranger : le rêve de toute une génération.
Selon un sondage de 2019 du cabinet de conseil Deloitte, 57% des Millenials et des Gen Z rêvent de parcourir le monde.
C’est le rêve le plus commun devant :
Devenir riche
Être propriétaire
Avoir un impact positif
Fonder une famille
Les nouvelles générations ont de plus en plus envie de voyager.
On peut l’expliquer par un changement de mindset générationnel.
Avant pour voyager, il fallait soit être pilote de ligne, soit être un riche homme d’affaires en poste dans une multinationale.
Le voyage n’était accessible qu’à une élite.
Mais, Internet a permis à quiconque d’emporter son business avec lui et de devenir nomade. De plus, des applications comme AirBnb ou Booking ont facilité l’accès au voyage.
Aujourd’hui, tu peux planifier un tour du monde directement depuis son téléphone.
Ce qui a donné naissance à un nouveau mode de vie : celui du nomadisme digital.
Sur Google, les recherches pour le terme “digital nomad” ont explosé ces dernières années, en particulier depuis la pandémie de Covid.
Personnellement, j’ai toujours voulu voyager et voir du pays.
La Terre est si grande, pourquoi se contenter de rester dans un seul pays ?
Ces 15 dernières années, j’ai posé mes bagages sur 4 continents et traversé +48 pays.
Et si j’ai créé un business en ligne et structuré mon entreprise en remote asynchrone, c’est en partie pour pouvoir voyager et vivre d’où je voulais dans le monde.
Dans cette newsletter, je vais te transmettre tout ce que j’ai appris lors de ces 4 dernières années de voyages.
J'espère te transmettre le virus du nomadisme.
Comment passer à l’action et partir
Beaucoup aimeraient voyager, voire s’expatrier.
Mais, combien passent à l’action et le font vraiment ?
Les obstacles au voyage sont nombreux :
Ça coûte cher (location, transports, etc.)
Ça demande beaucoup de préparation.
C’est difficile quand on a des enfants.
Ça demande de partir loin de sa famille.
On ne part pas quand on veut (obligations, congés)
Ça demande de sortir du confort.
Voyager quand on est salarié, c’est déjà dur (même en full remote), mais alors entreprendre et voyager toute l’année, on nage en plein délire.
À la limite quand on est freelance pourquoi pas.
Mais quand on a des employés ? Impossible.
Tout ça, c’est faux. Et j’en suis la preuve vivante.
J’ai une entreprise avec 17 collaborateurs, je suis papa d’un enfant en bas âge et je voyage. J’ai des milliers de problématiques à gérer chaque jour et j’arrive quand même à vivre en nomade.
Si moi, je peux le faire, tu peux le faire.
Voici ce que j’ai mis en place pour pouvoir voyager toute l’année :
J’ai structuré mon entreprise en asynchrone
J’adapte mon agenda en fonction du décalage horaire
Je fais en sorte de gagner assez pour me payer ces expériences.
Ce n’est qu’une question de volonté. Si tu veux voyager, tu peux voyager.
Maintenant que tout ça est dit, j’espère que tu vas arrêter de procrastiner et réserver ton billet d’avion pour ta destination de rêve.
En attendant le départ, je te propose de revenir sur les 4 archétypes de l’entrepreneur nomade.
Les 4 archétypes d’entrepreneur nomade
“Entreprendre” c’est très large. “Voyager” aussi.
Il y a différents types d’entrepreneurs nomades, mais tous rentrent dans l’une de ces 4 grandes cases :
Le Jeune Explorateur
Le Nomade Frugal
Le Businessman International
L’Éternel Étranger
Ce sont 4 visions du nomadisme digital, toutes opposées. J’ai personnellement testé ces 4 modes de vie.
Je prendrai à chaque fois un exemple personnel et t’expliquerai comment incarner chaque archétype.
Le Jeune Explorateur
Le voyage n'est jamais une question d'argent, mais de courage.
— Paulo Coelho
À 26 ans, je suis parti en Australie sur un coup de tête.
Un matin, j’ai arrêté mon business, j’ai vendu tout ce que je possédais et deux semaines après, je m’envolais pour l’Australie, sans billet retour.
Je ne parlais pas anglais du tout (niveau Bryan is in the kitchen, tu vois le truc ? 🤣).
Les premières semaines, je ne trouvais pas de travail.
Puis un jour, je tombe par hasard sur la Mega Swim School. Le lendemain, j'étais embauché comme Entraîneur de natation. En parallèle, j’ai monté une agence marketing sur place et donné des coachings sportifs privés.
À l’origine, j’étais parti pour vivre le mode de vie “backpacker” : faire le tour du sous-continent en van aménagé, mais les opportunités en ont décidé autrement.
Je suis resté un an et demi en Australie avant de devoir rentrer en France pour des raisons familiales.
Je conseille à tous les jeunes sans attaches de faire ça une fois dans leur vie : partir vivre à l’étranger un an, sans plan et sans argent.
S’exposer à l’inconnu pour se découvrir soi-même.
Voici comment incarner cet archétype :
Optimiser pour la découverte et l’aventure
Expérimenter pour monter en compétences
Aller dans un pays le plus lointain possible
Partir seul pour s’obliger à rencontrer des locaux
À faire quand on n’a pas encore fondé une famille
Le Nomade Frugal
Qui a dit que voyager devait coûter cher ?
Pour augmenter ton niveau de vie, tu peux :
Augmenter tes revenus
Diminuer tes dépenses
Partir vivre dans un pays où la vie est moins chère peut être un moyen très efficace d’augmenter son niveau de vie rapidement.
Que cela soit les pays de l’Est, Malte, l’Estonie ou l’Asie du Sud-Est, vivre en nomade dans un pays où la vie est peu chère ou dans lequel la fiscalité est plus avantageuse peut être utile, surtout quand on débute en business.
Beaucoup d’alumnis Propulser Révolution ont rejoint le programme pour suivre cette voie. Un élève me disait récemment qu’il promettait de partir à Bali à sa femme et ses enfants, mais ignorait la marche à suivre.
Ensemble, on a calculé qu’il lui fallait 30k euros pour vivre un an à Bali. C’était moins que ses dépenses annuelles en France. Je lui ai donné un ultimatum pour réserver ses billets d’avion.
Voici comment incarner cet archétype :
Construis un business en ligne simple
Pars dans un pays en développement
Rencontre des communautés d’expats sur place
Tu peux partir en famille si tu veux ou en solo
Trouve des locations longue durée à des tarifs locaux
Remarque : si tu pars juste pour la fiscalité, tu auras le mal du pays.
PS : Pour trouver le pays où la ville idéale, je t’invite à utiliser ce site. (j’en suis membre)
Le Businessman International
Entre 2016 et 2019, j’ai passé plusieurs mois par an en Californie.
En 2020, je suis parti vivre à Dubaï. On en parlait dans une précédente newsletter, mais déménager au bon endroit est le meilleur moyen de développer son réseau.
Spoiler : c’est un mode de vie qui coûte cher.
Quand je partais en Californie pour rejoindre le Mastermind le plus prestigieux au monde, je devais non seulement payer l’avion en business, mais aussi des nuits d’hôtel à 2000$ la nuit. Et croyez-moi, sur la côte ouest, 2000$ la nuit, on est loin du haut standing.
Autre exemple. À Dubaï, j’ai dû sortir +60k euros upfront pour payer un an de notre loyer dans une résidence de la Palm. Comme tu le sais peut-être, la vie est chère aux EAU, si on n’est pas préparé, c’est un mode de vie dans lequel on peut rapidement flamber.
Cet archétype demande un plus haut niveau de revenu. Mais c’est une vie à 100 à l’heure que tout le monde devrait vivre au moins une fois.
Si tu veux débloquer le niveau de revenu nécessaire pour vivre cette vie, je t’invite fortement à rejoindre Le Catalyseur.
Voici comment incarner cet archétype :
Voyage toujours en business class
Investis dans des expériences uniques
Optimise pour les rencontres high level
Va là où les choses se passent (NY, Dubaï, SF, Singapour, Hong Kong)
L’Éternel Étranger
Voyager est un mode de vie, une fin en soi.
C’est l’archétype que j’incarne aujourd’hui. J’ai trouvé mon équilibre, ma stabilité dans le voyage et la découverte permanente d’autres cultures.
Les Polynésiens divisent l’humanité en deux :
Les hommes des arbres, qui cultivent leurs cocotiers et restent sur la même île toute leur vie
Les hommes des pirogues, qui coupent les arbres pour en faire des bateaux et explorer d’autres îles
Je suis de cette seconde catégorie. Je ne suis pas attaché à mes racines.
Voyager donne de la couleur à ma vie, de la diversité. Explorer d’autres contrés, apprendre d’autres langues, c’est ça ma vie de rêve.
Ce que j’aime, c’est reste un éternel étranger. Un explorateur, en quête des mille saveurs que le monde propose.
Aujourd’hui, je suis au Brésil. Demain, je serais peut-être ailleurs, et un jour je ferais le tour du monde en catamaran avec ma famille.
Ce n’est pas une vie qui convient à tous.
Mais c’est la vie que j’ai choisie.
Voici comment incarner cet archétype :
Rester longtemps dans un pays
Apprendre la langue et la culture
Changer de pays quand on devient un “local”
Observer le monde comme un nouveau-né
Chercher des destinations insolites.
Conclusion
On dit souvent que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs.
De mon expérience, c’est faux. L’herbe est plus verte ailleurs, non pas dans la réalité, mais dans l’œil de l’observateur. Découvrir un nouveau pays, vivre à l’étranger, c’est développer une perspective unique sur le monde.
Donc sur soi-même.
Alors, que ce soit pour te découvrir toi-même, vivre frugalement, faire partie de l’élite mondiale ou vivre en éternel étranger, je t’invite fortement à voir du pays.
Ça changera ta vision du monde à jamais.
Il faut le vivre pour le comprendre.
Mes recos de la semaine
Si tu aimes voyager ou si tu comptes le faire grâce à cette Newsletter alors j’ai l’app qu’il te faut que j’utilise depuis des années pour justement tracker tes voyages, les pays visités et bien plus encore. Elle s’appelle been et dispo ici sur iOS (oiur Android je te laisse chercher)
Le documentaire sur Beckham, et tu sais que je n’aime pas le foot mais là j’ai été surpris par son mindset (je t’en parle plus en détail la semaine prochaine)
Allez un livre que j’ai lu enfin écouté l’an dernier mais qui fait sens avec cette Newsletter, Kilomètre Zéro de Maud Ankaoua.
Ce n’est pas le type de livre que j’ai l’habitude de consommer du tout, peut-être l’arrivée de Ugo… la maturité… un tout… mais j’ai été agréablement surpris… Je te conseille vivement de le lire tellement il est puissant…
“Le monde est un livre, et ceux qui ne voyagent pas ne lisent qu'une seule page. ” — Saint Augustin
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Dans la prochaine édition :
On parlera de mindset (sans bullshit)
De l’importance du mental en sport
De pourquoi c’est 90% de la réussite business
Comment s’en servir concrètement pour en tirer de gros résultats
Ainsi que de mes plus gros shifts mentaux
Et plus ! Rendez-vous samedi prochain 😉
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Bon week-end à toi !
Franck 🏄♂️
Ta news, une super source d'inspiration, j'adore te lire ! Et merci pour les photos, ça nous met dans le bain direct 😄
Excellent Franck 👍
La curiosité, les rencontres la découverte et l'émerveillement... ça c'est du pur plaisir...
See you in Bali 😉... soon !