Tu échoueras si tu ne te construis pas un entourage en béton.
Future of Life #002 - Qu'est-ce qu'un self-made man, pourquoi arrêter d'opposer détente et travail, une expérience psychologique révélatrice, et bien plus...
Hello à toi, j’espère que tu vas bien ? 🤙
Déjà, j'aimerais remercier les 10 300 personnes qui ont lu la première édition dans 69 pays.
Merci aussi à tous ceux qui m’ont envoyé un message. ❤️
Ça fait chaud au cœur d’avoir du soutien quand on lance un projet aussi personnel.
Si tu me découvres avec cette deuxième édition ou qu’on t’a transféré ce mail, voici un rappel sur ce qu’est cette newsletter :
→ Dans Future of Life, je te transmets toutes les deux semaines un peu de mes idées, des histoires intéressantes et quelques anecdotes personnelles.
Le tout dans un format long et plein de valeur.
Mais surtout, des conseils actionnables pour que tu puisses construire une vie hors des sentiers battus.
Ici, on explore le Future of Life, une nouvelle manière de vivre, plus audacieuse, plus riche, celle de ceux qui veulent être en avance sur leur temps.
Si ça te parle, mais que tu n’es pas encore abonné, clique sur le bouton juste en dessous pour recevoir un e-mail de ma part, un samedi sur deux.
Voici le sommaire de cette deuxième édition :
On va se demander si les “self made men” existent ? Et si j’en suis un ?
On va parler de l’environnement qui m’a fait shifter de mindset.
Je vais te parler de Benjamin Franklin et de ses potes.
Je vais t’expliquer pourquoi il te faut un coach.
Comment fusionner détente et travail ?
De comment la mafia m’a influencé.
D’une histoire de marshmallows.
Et de mes plus gros regrets.
Tu es prêt ? C’est parti 👇
Suis-je un “self-made man” ?
Quand je fais le bilan, je me dis que j’ai bien réussi :
Je n’étais pas bon à l’école, mais je suis plus riche que n’importe quel professeur.
Je ne suis pas né avec une cuillère en argent, mais je vais pouvoir élever mon fils en voyageant aux quatre coins du monde.
Je n’ai pas fait l’université, pourtant des entrepreneurs de haut niveau m’ont payé des dizaines de milliers d’euros pour mes connaissances.
À la force de ma volonté, j’ai réussi à m’élever financièrement, socialement et culturellement. Je suis parti de rien et j’ai “réussi”.
Je ne dois rien à personne et je vis actuellement une vie de rêve selon mes propres termes. Totalement libre.
Bon, j'arrête là parce que mes chevilles commencent à enfler ! 😂
Si je te dis ça, c’est parce que je me demande si je suis un “self made man” ?
Et si le “je ne dois rien à personne” est vrai.
Si tu as toi aussi dépassé ta condition à la sueur de ton front, tu te poses peut-être la même question…
Mais on va garder cette interrogation de côté….
Pour guider notre réflexion, je dois te parler de deux hommes qui m’ont toujours inspiré.
Les deux géants du grand écran.
J’ai grandi dans les années 80, devant les films de Schwarzy et Sly.
J'ai toujours été inspiré par ces deux selfs made man, au parcours pourtant différent.
D'abord, on a l’autrichien qui débarque sans un sou et finit gouverneur de Californie et ensuite, on a l’italien New-Yorkais qui a galéré pendant des années avant d’écrire Rocky et d’en faire la saga culte que l’on connaît aujourd’hui.
Et ça, c’est sans compter sur leur rivalité pour devenir la plus grande star du cinéma d’action dans les années 80 !
Tout chez eux est inspirant : ils sont résilients, leur sens du business est aiguisé et leurs performances sportives montrent la VRAIE signification de l’expression “se dépasser”.
Pour tout vous dire, je suis tellement fan que j’ai une copie du manuscrit de Rocky dédicacé (et son livre en série limitée aux éditions Taschen) et un collector du livre Pumping Iron 😅
Ces deux héros m’ont inspiré, parce qu’ils incarnaient le rêve américain.
Comme beaucoup d’enfants des années 80, je leur dois de m’avoir transmis un mindset en béton armé. Par le biais de leurs films, mais aussi de leur vie.
Sans eux, j'ignore si je me serais consacré au sport à haut niveau, lancé dans l’entrepreneuriat et fait mon premier million en autodidacte complet.
Mais la question, c’est : “Est-ce que Stallone et Schwarzy, les archétypes du “self made” se sont-ils vraiment faits TOUS SEULS ?
Gardons cette autre question de côté…
C’est quoi un “self made man” ?
Bon, on va essayer de définir un “self made man” ?
Si on lit le Larousse, c’est une “personne qui est l'artisan de sa propre réussite.”
Si c’est ça la définition, alors je suis un self-made man, et Stallone et Schwarzy aussi.
Mais le truc, c’est qu’on imagine souvent les “self made man” comme des loups solitaires. Comme des individus détachés de tout groupe social, qui ne doivent rien à personne.
Pour rappel, la question qu’on se pose, c’est : “est-ce que je ne dois VRAIMENT rien à personne” ?
Si tu as vu ce film culte des années 2000, tu as un bout de réponse, car tu sais que la vie…
…c’est avant tout des rencontres !
Blague à part, l’être humain est un animal social.
Sauf si on vit en ermite, personne ne vit seul.
Et c’est pour ça que je doute du fait que je ne “dois rien à personne”
Les “selfs made men” sont peut-être les artisans de leur propre réussite, mais ils sont forgés par les autres.
Plus précisément, ils sont :
La moyenne des individus qu’ils côtoient.
Le produit de leurs mentors et coachs.
Le reflet de leur environnement.
Pour te convaincre, regardons ces trois points en détail…
La moyenne des individus que l’on côtoie.
Si vous écoutez le podcast de Mathieu Stefani, vous savez que l’on est “la moyenne des cinq personnes que l’on fréquente le plus”.
Cette citation que l’on doit au légendaire Jim Rohn est impossible à remettre en question. Je le rappelle : l’être humain est un animal social !
Nous tirons notre force du collectif.
Voici un exemple pour que tu comprennes mieux.
Benjamin Franklin est l’archétype du “self made man”.
Il est né fils d’un fabricant de bougies et il a fugué à l’adolescence pour Philadelphie. C’est dans cette ville qu'à la sueur de son front, il a construit plusieurs business et est devenu le premier millionnaire des USA.
Quand on lit sa biographie, on réalise qu’il doit sa réussite à lui-même, mais aussi à l’entourage qu’il s’est construit.
En 1727, Benjamin Franklin a fondé le Junto, un “club d’amélioration mutuelle”, pour discuter en bonne compagnie de philosophie, de morale, de culture…
Mais surtout pour causer business ! 🤑
Le Junto Club c’est en fait le premier mastermind de l’histoire !
La force du “self made man” ce n’est donc peut-être pas d'arriver à s’élever tout seul, mais au contraire, de rassembler les bonnes personnes.
On s’élève soi-même en devenant la locomotive de son groupe et en trouvant les fameuses “cinq personnes” de qui s’entourer.
Les “self made” sont la moyenne des individus qu’ils côtoient.
Mais ils sont aussi le produit de leur mentor et coach…
L’importance d’avoir un bon coach
Tu le sais, je suis un ancien coach sportif et entraîneur de natation.
C’est une discipline que je suis encore évidemment et récemment j’ai été impressionné par le jeune Léon Marchand, qui a pulvérisé le record de Michael Phelps au 400 m 4 nages.
Un record qui n’aurait pas été possible si le Français n’avait pas été coaché par Bob Bowman.
Bob Bowman ce n’est pas n’importe qui.
C’est l’ancien entraîneur et mentor de Michael Phelps !
Michael Phelps, qui est lui aussi un vrai “self-made”. Il a réussi à dépasser son trouble hyperactif et à devenir un des plus grands sportifs de l’histoire en venant d’une famille de classe moyenne de Baltimore.
Pour ce qui est de Léon, on ne peut pas dire qu’il est 100% “self made” car il a grandi dans une famille de champions de natation. Ça aide ! 🏊
En revanche, il a toutes les qualités du “self made” :
Il a envoyé un mail à Bob Bowman pour qu’il devienne son entraîneur
Il est parti étudier aux USA à seulement 20 ans pour s’entraîner.
À 21 ans, il est déjà le Français le plus médaillé de sa discipline.
Mais, est-ce que la première qualité des high performer, ça ne serait pas de bien choisir, ou de se créer la chance de tomber sur les bons mentors ?
Aller chercher les personnes qui les emmèneront à l’étape d’après ?
On est le produit de nos mentors, et c’est donc à nous de bien les choisir.
Mais pour finir, on est aussi le reflet de notre environnement…
On est reflet de son environnement.
Je vais vous raconter une histoire personnelle.
Quand j’étais encore coach sportif et entraîneur de natation, je me suis créé une chance de rencontrer des gens d’une autre classe sociale.
J’entrainais les enfants des millionnaires et ça a radicalement changé ma vision du monde.
Car c’est en baignant dans cet environnement que je me suis ouvert de nouvelles perspectives. Que je me suis dit que moi aussi, je pouvais atteindre ce niveau !
Parfois, ce n’est ni l’entourage que l’on a choisi ni nos coachs/mentors qui nous font avancer.
Mais simplement, l’environnement dans lequel on baigne. Et les rencontres que l’on fait dans cet environnement.
Si tu déménages à Hollywood, tu auras plus de chances de devenir acteur.
Si tu vas dans la Silicon Valley, tu auras envie d’entreprendre.
Si tu déménages à Dubaï, tu voudras plus d’argent.
Si tu n’as pas eu la chance de naître au bon endroit, c’est à toi d’aller là ou tu dois aller. Heureusement, aujourd’hui avec Internet, l’environnement ce n’est plus qu’un lieu physique.
Ce sont aussi les communautés auxquelles tu fais partie.
Si tu veux réussir, choisis bien tes communautés et l’endroit dans lequel tu vis !
Pourquoi je ne suis pas un “self made man”
Les “self made” ne sont jamais “self made” et pour répondre à la question de départ :
Je ne suis pas un “self made”.
Tu n’es pas “self made”.
Même Stallone et Schwarzy ne sont pas “self made”.
Peu importe ta motivation, ta capacité de travail, le fait que tu sois parti de zéro et que tu aies réussi de manière incroyable… tu es avant tout forgé par les autres :
Tes groupes proches (famille, amis, masterminds)
Tes mentors et coachs.
Ton environnement.
Si on reprend l’exemple d’Arnold, il n’aurait probablement pas réussi sans :
Franco Columbu et ses autres partenaires d’entrainement.
Joe Weider, son mentor et créateur des compétitions “Mr.Olympia”
Son environnement : la culture ambitieuse du “tout est possible” de la Californie.
En 15 ans, j’ai rencontré des centaines de high performers, entrepreneurs comme sportifs, et aucun n’est un “self made”.
Au contraire, la qualité première de ceux qui vont loin et qui s’élèvent, c’est celle de bien s’entourer.
Je suis convaincu qu’on a tous besoin de coachs, de mentors, d’une communauté et d’être dans le bon environnement pour dépasser ses limites.
Mais alors, comment bien s’entourer quand on est dirigeant ou solopreneur ?
C’est ce qu’on va voir dans la suite de cette newsletter.
Des inspirations mafieuses.
Regarde bien ce schéma du FBI qui décrit l’organisation de la mafia :
Quand j’ai vu ce document, j’ai halluciné. Pour te donner du contexte, ça faisait des semaines que je réfléchissais à la structuration de ma boîte.
Je t’en parlais d’ailleurs dans la dernière édition.
Et surprise, mon organigramme ressemblait exactement à celui de la mafia ! 😂
Comme quoi, on n’invente jamais rien…
Bref, en 2023, l’organisation idéale pour un entrepreneur qui veut passer à la vitesse supérieure (passer de 6 à 7 chiffres), c’est de copier la mafia :
Le CEO (ex-solopreneur) dirige la stratégie et incarne l’entreprise.
Il a un coach (et/ou un mastermind) pour l’épauler sur sa stratégie.
Il a un COO/bras droit pour diriger l’opérationnel et le day to day.
Ce COO dirige différents owners, chacun responsable d’un secteur.
Eux-mêmes dirigent une équipe de soldats
Attention, cette structure ce n’est pas pour les débutants, mais vraiment pour ceux qui sont dans leur “Road to 1M”.
Si tu es dans ce cas, continue de lire. Sinon, tu peux passer à la section “Pourquoi opposer travail et détente ?”.
Si tu restes, accroche-toi, on va parler technique.
Trouver son underboss/COO/Bras Droit.
La semaine dernière, je te parlais de la restructuration de mon équipe.
Mais je n’ai pas abordé un des éléments les plus importants dans ma restructuration : l’arrivée de ma nouvelle “bras droit”.
Je ne vais pas te mentir, c’est une libération.
Je peux me concentrer sur ma zone de génie et lui laisser diriger tout le day to day, car elle a ma confiance.
On est encore en phase de calibration, mais je sens déjà que mes journées s’allègent et que je peux me concentrer sur des sujets plus deep.
Aujourd’hui, mon seul job en tant que CEO de Propulser® c’est de prendre de meilleures décisions et rester dans ma zone de génie :
Stratégie
Vente
Growth Marketing
Accompagnement high-level.
Tout le reste, je délègue et c’est ma COO qui chapeaute tout ça.
Même dans mes domaines, je tente de déléguer de plus en plus pour me concentrer sur la stratégie et la vision.
Parce que c’est bien beau de payer des coachs, des masterminds et passer des heures à lire…
S’améliorer c’est bien, mais seulement si on a du temps à passer dans sa zone de génie.
Pour cela, tu dois apprendre à déléguer un maximum.
Et pour déléguer, tu as besoin d’un bras droit.
CQFD.
La “work-life balance” c’est du bullshit.
C’est une opinion que tu vas peut-être trouver clivante.
Arrêtons d’opposer travail et vie perso.
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’il faut soit être :
Un hustler de compétition, ne jamais s’arrêter (sauf pour boire et aller à la salle), se lever à 3h du matin, ne pas avoir de famille
Soit un bobo-thalasso et ne travailler que 3h par jour quand tes chakras s’alignent.
Ces deux visions sont absurdes et il faut les dépasser.
Regarde. J’ai passé la semaine dernière à faire du kite sur les plus belles plages du Nordeste brésilien, et j’ai passé du temps avec ma famille.
Mais j’ai fait du kite avec des amis dans le business et ce temps avec ma famille m’a permis de me poser pour réfléchir en profondeur à une nouvelle offre que je lance.
Est-ce que je me suis détendu ? Oui.
Est-ce que j’ai travaillé ? Aussi.
Aujourd’hui, je ne fais plus de distinction entre les deux.
Quand on est entrepreneur, tout est autant travail que vie perso.
Arrête d’opposer work et life. Le deux doivent se compléter.
Quand travail et vie sont en symbiose, c’est ça le Futur of Life.
Vous aimez les marshmallows ?
Walter Mischel est chercheur en psychologie. Dans les années 60, à l’université de Stanford, il réalise une expérience très simple :
Des enfants de 5 ans sont laissés seuls dans une pièce avec un marshmallow pendant 15 minutes. S’ils ne le mangent pas, ils obtiendront deux marshmallows au retour de l’expérimentateur.
Oui, c’est sadique. Les enfants sont tentés pendant 15 minutes et doivent se battre avec leur cerveau pour ne pas céder.
Dans le groupe, certains cèdent et mangent le marshmallow, d’autres résistent et gagnent, comme promis, deux marshmallows.
Là où l’expérience devient intéressante, c’est que Walter a suivi les enfants dans les 20 années qui ont suivi.
Et ce qu’il a remarqué, c’est que les enfants qui avaient attendu sagement le second marshmallow avaient de meilleurs résultats aux examens et réussissaient mieux dans la vie.
Ceux qui ont mangé le marshmallow avaient plus tendance à développer des addictions, faire des choses stupides et moins bien réussir dans la vie.
Si on peut tirer une leçon de cette expérience, c’est que la capacité à être patient et à délayer la gratification est un facteur clé de la réussite.
Heureusement, comme l’explique très bien Walter Mischel dans son livre “The Marshmallow Test”, c’est une compétence qui se travaille et que l’on peut enseigner aux enfants.
Retiens bien : tu dois travailler ton self-control et ta capacité à ne pas céder aux plaisirs immédiats. C’est grâce à cette compétence que tu pourras atteindre de nouveaux sommets.
Comme l’a dit Robert Kiyosaki : “Lorsque l'on fait des choix faciles, la vie devient difficile ; lorsque l'on fait des choix difficiles, la vie devient facile.”
Mes trois plus gros regrets de ces dernières années.
Aujourd’hui, pour t’aider à ne pas faire les mêmes, je veux te parler de mes trois plus gros regrets.
Oublier mon ADN de bootstrappeur
Me “défocus” et quitter ma zone de génie.
Ne pas persévérer dans le contenu.
Passons chacun en revue :
Mon premier regret, c’est que quand j’ai commencé à avoir de l’argent, j’ai voulu l’investir dans des projets fous. Mais plutôt que de tester le marché rapidement, j’ai investi dans des agences de naming, des réalisateurs digne des plus grandes pubs au monde… et de la recherche et développement.
J’ai fait des plans sur la comète, parce que j’avais de l’argent à investir plutôt que de me confronter au marché.
Mon deuxième plus gros regret, qui va avec le premier, c’est que pendant que je faisais des plans sur la comète, j’ai délaissé mon business et ma zone de génie. J’ai mis en pause ce que je faisais de mieux : le coaching très haut niveau.
Si c’était à refaire, je ne me serais pas défocus et je ne me serais pas laissé tenter par le syndrome de l’objet brillant.
Enfin, mon dernier regret, c’est de ne pas avoir continué ma chaîne YouTube et mon podcast “Mindset and marketing power” alors que j’étais précurseur dans le début des années 2010.
Le contenu, c’est un jeu de long terme, et si je ne m’étais jamais arrêté, j'ignore où je serais aujourd’hui !
Mais tu connais la phrase : avec des “si” on mettrait Paris en bouteille.
À vrai dire, ces 3 regrets n’en sont pas vraiment. Si c’était à refaire, je referais tout pareil.
Toutefois, ça m’a servi de leçon. Et si je partage avec toi ces regrets aujourd’hui, c’est pour que tu ne fasses pas toi-même ces erreurs.
Mes recommandations de la semaine.
Cette newsletter, c’est aussi l’occasion pour moi de partager avec toi mes lectures et mes découvertes de la semaine.
Pain Killer sur Netflix. Une histoire vraie.
Tout le monde est manipulable. Et surtout les Etats, la politique …
De l’héroïne en cachet, 500 000 morts aux USA. Une affaire psychologique c’est passionnant. Plus c’est gros, plus ça passe.
Terminé hier soir. J’ai passé 1H à lire des revues et articles. Les jugements ne sont même pas encore terminés. La cour suprême en Décembre … Ca rend dingue ! Les dirigeants de la société, la famille Sackler a engendré plus de 11 Milliards et ne sont même pas condamnés…
Agent Stone sur Netflix
Un mix entre Mission Impossible et James Bond. Pendant 20 ans, des espions ont créé une IA. Ce que j’ai trouvé incroyable, c’est le rythme du film et l’imagination du réalisateur. Penser à un “cerveau” aussi smart et surtout à le rendre “quasi” intouchable et inviolable. Mais même s’il est hébergé dans un ballon à 20 000 pieds en mouvement permanent et autonomie avec des panneaux solaires… Il existe toujours des personnes plus smart que d’autres… on en parle dans 2 semaines plus en détail… car un vrai concept est à tirer de ce film…
L’épisode avec Kilian Jornet de la série de podcast UTMB 20 ans de passion
Je pense avoir écouté tous ses podcasts et ses films et je suis toujours impressionné par ses réflexions profondes. Ses prises de conscience. Et comment il a su détacher performance sportive avec kiff absolu.
C’est d’ailleurs à mon sens pour ça qu’il est devenu le trailer le plus titré de tous les temps.Je suis toujours fasciné par la puissance de l’IA et la place qu’elle prend dans notre vie pro et perso. Mes parents utilisent GPT sur leur tél maintenant ! Cette semaine j’ai encore testé pas mal de choses. Je me suis servi du code interpretor sur un de mes posts de la semaine sur Linkedin que tu retrouves ici où je fais parler les chiffres de l’Insee sur les entreprises en France. Je lui ai donc donné “à manger” des chiffres. Il m’a écrit un texte. je l’ai orienté pour aller dans l’axe que je voulais donner. Puis je lui ai demandé de me créer le graphique.
Oui oui ce post a été écrit avec l’IA et le graphique créé en 3 secondes par GPT !
Bluffant non ?D’ailleurs, si tu aimes l’IA et si tu as compris que c’était un de tes meilleurs alliés, je vais faire un live coaching offert d’ici quelques jours au sein de notre communauté Futur Of Life. Pour en profiter, tu peux faire ta demande ici.
Afin de garantir une expérience exceptionnelle à chaque membre, nous avons décidé de rendre l'accès à notre communauté sélectif.Pourquoi sélectif ?
Qualité avant quantité : Nous souhaitons un environnement où chaque membre apporte une valeur ajoutée, partage des connaissances approfondies et s'engage activement.
Interactions significatives : En maintenant un groupe restreint, nous encourageons des échanges plus intimes et enrichissants.
Engagement envers l'excellence : Notre communauté est destinée à ceux qui sont passionnés, dévoués et prêts à contribuer activement à notre mission commune : Transformer la vie de nos clients.
Si toi aussi tu as des recos à me partager, n’hésite pas à répondre directement à ce mail.
Never forget :
L'art de la réussite consiste à savoir s'entourer des meilleurs - John Fitzgerald Kennedy.
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Seul on va vite, ensemble on va plus vite et plus loin
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Dans la prochaine édition :
On va parler de la différence entre vie choisie et vie subie.
Je t’expliquerai pourquoi le mindset c’est 95% du travail.
Pourquoi tu n’as pas besoin de plus de conseils.
Je t’expliquerai pourquoi je ne coache plus des débutants.
Je t’exposerai ma vision insolite de l’éducation.
On parlera de la première règle du Future of Life.
Mais aussi de l’état d’esprit du surfeur.
Et de plein d’autres surprises !
Si la partie sur la mafia et le COO t’as intrigué, j’ai des secrets à te transmettre pour aller plus loin…
Attention, ce ne sont pas des informations à mettre entre toutes les mains, je compte sur toi pour être discret.
Mais si tu as envie de passer de 6 à 7 chiffres, je peux te révéler les secrets de mon système.
Envoie un e-mail à vip@propulser.business ayant pour objet « Système Mafia » et décrit moi en quelques lignes où tu en es dans ton business et pourquoi tu veux atteindre les 1M.
Si j’estime que c’est sérieux, je te recontacterai très rapidement.
Je compte sur toi pour garder le secret.
Tu connais la loi de l’omerta 😉
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Bon week-end à toi !
Franck 🏄♂️
Créateur de "Future of life”
J’ai adoré le comparatif avec la mafia !!! L’organisation est finalement la même pour tous les systèmes et structures qui sont rodés. Cette newsletter #2 est magnifique. Un niveau supérieur atteint !!! Je l’ai adorée. Lecture fluide, sans aucune longueur, hyper instructive et même addictive. 2 par mois c’est pas assez 😅
Wahoo j'ai adoré. Je te remercie de tes partages profonds et du coeur. Cela me donne la sensation que je peux gravir les plus hautes montagnes... Après c'est juste à moi de savoir quelles montagnes j'ai envie de gravir. Mille merci et prends soin de toi et de ta famille